Dans le cadre du projet «hébergement citoyen» présenté le 30 novembre par la ministre du Logement Emmanuelle Cosse, près de 1 400 migrants vont être accueillis chez des particuliers pour une période allant de trois mois à un an.
Les migrants seront hébergés à titre gratuit. Les migrants seront également accompagnés par des associations qui toucherons 1500€ / ans et par migrants. Ces associations aideront les migrants pour les démarches administratives, la formation linguistique et trouver un travail.
Et en Italie c'est encore pire : le gouvernement réquisitionne de force (sous peine de prison pour les récalcitrants) les logement secondaire des italiens, pour loger les migrants.
Le quotidien italien Il Giornale vient de faire des révélations effrayantes. Citant des sources du ministère de l’Intérieur, le journal annonce que le gouvernement serait prêt à prendre des mesures drastiques contre les citoyens qui s’opposent à la réquisition de biens immobiliers pour les migrants.
Selon les informations publiées par Il Giornale, les services secrets italiens ont alerté le gouvernement au sujet de la probabilité de réactions violentes de citoyens italiens en cas de réquisitions de propriétés privées envisagées par certains ministres.
Selon l’avis des services secrets, vu la réticence des Italiens à coopérer à un tel scénario, des milliers de policiers et de militaires devront être déployés pour briser la contestation.
Le ministère de la Justice travaillerait même à la mise en place de tribunaux d’exception et à la menace d’emprisonnement pour ceux qui s’opposeront au plan du ministère de l’Intérieur.
La situation est d’autant plus folle que, selon les sources de Il Giornale, les propriétaires ne seront pas payés pour leurs biens réquisitionnés. Le ministère de l’Intérieur n’a pas les fonds nécessaires pour indemniser les propriétaires, tous les budgets pour l’accueil des migrants étant déjà affectés aux centres gérés par des coopératives et des associations. En théorie, le propriétaire pourra intenter une action en justice pour obtenir une indemnisation, mais la procédure en justice sera longue et incertaine.
La réquisition serait «temporaire», mais pourrait se transformer en expropriation définitive dans le cas où le propriétaire se serait opposé par la force à la réquisition.
Selon certains fonctionnaires du ministère de l’Intérieur, le régime de réquisitions commencerait à Pescara, une ville qui deviendrait une sorte de test pour le reste de l’Italie.
Ceci confirme bien qu’il s’agit d’un plan d’immigration de grand remplacement appliqué par des gouvernements européens prêts à basculer dans un impitoyable totalitarisme.
source : Russia Today
source : Medias Presse Info
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