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3 janvier 2018 3 03 /01 /janvier /2018 18:55
la "Pravda", journal officiel du Parti Communiste de l'Union Soviétique

la "Pravda", journal officiel du Parti Communiste de l'Union Soviétique

Emmanuel Macron a annoncé ce mercredi, pendant ses voeux à la presse, un projet de loi pour "se protéger" contre la diffusion d'informations dissidentes (dite "fake news") en période électorale.

 

"Ce qui nous lie, c'est cette grande histoire démocratique qui lie la presse au pouvoir", dixit Emmanuel Macron, président de la République.

 

Face à un "métier de journaliste dévoyé, nous voyons l'irruption des fake news et des médias qui les propagent", a expliqué Emmanuel Macron. C'est pourquoi il a annoncé la présentation prochaine d'un projet de loi pour lutter contre les "fake news" sur internet en "période électorale"

 

"J'ai décidé de faire évoluer [notre droit] pour se protéger. En période électorale, sur les plateformes Internet, les contenus n'auront plus les mêmes règles. Les plateformes se verront imposer de nouvelles règles de transparence. Si nous voulons protéger les démocraties libérales, il faut être fort et avoir des règles claires. Le contenu de ce texte sera détaillé dans les semaines qui viennent", a ajouté le chef de l'État. 

 

Sans entrer trop dans les détails, le chef de l'Etat a toutefois dévoilé les contours en fustigeant "cette propagande articulée avec des milliers de comptes sur les réseaux sociaux" qui "en un instant répandent partout dans le monde, dans toutes les langues, des bobards inventés pour salir un responsable politique, une personnalité, une figure publique, un journaliste".

 

"En cas de propagation d'une fausse nouvelle -le futur projet de loi devra lui donner une définition claire-, il sera possible de saisir le juge à travers une nouvelle action en référé permettant le cas échéant de supprimer le contenu mis en cause, de déréférencer le site, de fermer le compte utilisateur concerné, voire de bloquer l'accès au site internet", a poursuivi le chef de l'État. 

Emmanuel Macron annonce un projet de loi pour combattre l'information dissidente (dite "fake news) en période électorale
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27 novembre 2017 1 27 /11 /novembre /2017 14:52
le journaliste Frédéric Haziza

le journaliste Frédéric Haziza

 

  • La plainte pour agression sexuelle visant Frédéric Haziza interroge quant aux soutiens dont il aurait bénéficié. Les témoignages évoquent une véritable «impunité» conférée par sa proximité avec la direction de LCP... et avec les politiques.

 

Le journaliste phare de La Chaîne Parlementaire (LCP) Frédéric Haziza, est accusé de harcèlement sexuel par une de ses anciennes collègues, Astrid de Villaines, qui a déposé plainte le 19 novembre. Au-delà de l'affaire judiciaire, se pose la question des appuis et de l'impunité dont aurait bénéficié le journaliste selon plusieurs témoins.

 

En effet, les personnes interrogées par BuzzFeed laissent entendre que les agissements de Frédéric Haziza étaient bien connus chez LCP : de nombreuses personnes décrivent un homme «parfois agressif», «aux mains souvent baladeuses» et «à l'humour salace».  En outre, grâce à son «influence», Frédéric Haziza aurait joui d'une certaine «impunité» d'après ses collègues.

 

Si les cas de harcèlement ou d'agressions sexuelles sont malheureusement souvent tus, voire dissimulés, le cas de Frédéric Haziza revêt un caractère particulier, en raison non seulement de la notoriété du journaliste concerné, mais aussi parce que le silence autour de ses agissements semble avoir solidement résisté aux démarches de la plaignante, dans un environnement où chacun semble avoir préféré détourner le regard.

 

L'étonnante réaction de François de Rugy

 

L'actuel président de l'Assemblée nationale François de Rugy, qui n'est alors encore que député, participe en décembre 2016 à un conseil d'administration de LCP, en compagnie de plusieurs autres de ses collègues. Isabelle Attard, élue écologiste, est également présente. Elle a été «informée par diverses sources» des gestes plus que déplacés dont est accusé Frédéric Haziza et entend en faire part aux dirigeants présents. François de Rugy prend donc connaissance de ces accusations très graves et s'appuyant sur plusieurs témoignages de femmes.

 

Marie-Eve Malouines, nommée présidente de la chaîne en 2015, assure ne pas avoir eu connaissance de ces accusations. Ne pouvant agir faute d'éléments concrets, elle rassure néanmoins Isabelle Attard en lui précisant que des structures ont été mises en place, conformément à la loi, au sein de la chaîne. Elle lui conseille d'orienter les femmes s'étant plaintes vers celles-ci.

 

C'est alors qu'entre en scène François de Rugy. D'emblée, le député prend le parti de qualifier les accusations évoquées par sa collègue de «rumeurs», comme en atteste le compte-rendu de la réunion. Alors qu'Isabelle Attard se dit «rassurée» de savoir qu'il existe une structure compétente au sein dans l'entreprise, François de Rugy, lui, est inquiet. Il dit en effet considérer «avec gravité» le sujet, non pas tant parce qu'il s'agit d'une présumée agression sexuelle, mais parce qu'il craint de voir «se propager de telles rumeurs qui pourraient nuire à LCP». Pourtant, comme le rappelle BuzzFeed, à cette époque, Frédéric Haziza avait déjà fait l'objet d'un avertissement...

 

La direction de LCP a-t-elle couvert Frédéric Haziza ?

 

Qui était au courant des agissements présumés de Frédéric Haziza ? A-t-il été couvert par sa direction et plus précisément par la directrice de LCP, Marie-Eve Malouines ? Dans un billet publié en février sur Mediapart, le géopolitologue Pascal Boniface liait l'élection de la nouvelle directrice de LCP à sa proximité avec Frédéric Haziza.

 

«C'est un homme qui sait montrer qu'il est puissant et qui a de nombreux contacts. Il tutoie François Hollande, Nicolas Sarkozy ou Manuel Valls... L'attaquer, ça fait peur», ajoute un salarié de LCP. Nul doute que Frédéric Haziza est un homme d'influence. Mais a-t-il profité de cette dernière pour étouffer les accusations portées contre lui ? Sans doute la justice sera-t-elle amenée à se pencher sur cet aspect de l'affaire en traitant la plainte d'Astrid de Villaines.

 

source : Russia Today

 

Lire aussi : Béatrice Bourges va porter plainte pour menace de mort contre le journaliste juif Frédéric Haziza

Voir aussi : le journaliste Frédéric Haziza agresse des reporters d’ERTV

 

 

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6 octobre 2017 5 06 /10 /octobre /2017 15:48
la Commission Européenne présente ses orientations liberticides pour la lutte contre l'information dissidente dite "fake news"

La Commission Européenne veut légiférer afin de pousser les acteurs du Web à mieux modérer les propos «illicites» ainsi que les «fake news» sur leurs plateformes. Une initiative dénoncée par certains, craignant des dérives et une mise en péril de la liberté d'expression.

 

"La Commission européenne présente ce jour des orientations et des principes afin que les plateformes en ligne renforcent la prévention, la détection et la suppression proactives des contenus illicites en ligne incitant à la haine, à la violence et au terrorisme.

 

Ainsi que l'a annoncé le président Juncker dans la lettre d'intention qui accompagne son discours sur l'état de l'Union du 13 septembre dernier, la Commission présente ce jour des orientations et des principes relatifs aux plateformes en ligne. L'objectif est de renforcer la prévention, la détection et la suppression proactives des contenus illicites en ligne incitant à la haine, à la violence et au terrorisme. La disponibilité et la diffusion croissantes en ligne de matériel et contenu à caractère terroriste qui incitent à la violence et à la haine sont une menace sérieuse pour la sécurité et la sûreté des citoyens de l'UE. Elles entament également la confiance du public dans l'environnement numérique, moteur essentiel d'innovation, de croissance et d'emploi.

 

Faisant suite aux conclusions du Conseil européen de juin 2017, reprises par les dirigeants du G7 et du G20, les mesures proposées constituent le premier volet du train de mesures en matière de lutte contre le terrorisme annoncé par le président Juncker. Elles permettront d'accroître l'efficacité de la lutte contre le contenu illicite et de faire progresser les travaux en cours afin d'instaurer une union européenne de la sécurité réelle et effective et un marché unique numérique plus fort.

 

Andrus Ansip, vice-président pour le marché unique numérique, a déclaré: «L'UE fournit une réponse valable juste au défi posé par le contenu illicite en ligne. Nous facilitons la tâche des plateformes, en coopération étroite avec les autorités répressives et la société civile.».

 

Vera Jourová, commissaire pour la justice, les consommateurs et l'égalité des genres, a déclaré: «L'état de droit s'applique en ligne autant que hors ligne. Nous ne pouvons accepter qu'il existe un far west numérique et nous devons agir. Le code de conduite dont j'ai convenu avec Facebook, Twitter, Google et Microsoft montre qu'une approche d'autorégulation peut servir d'exemple et produire des résultats. Toutefois, si les entreprises de haute technologie ne respectent pas leurs engagements, nous le ferons.»

 

Julian King, commissaire pour l'union de la sécurité, s'est exprimé dans les termes suivants: «Le monde numérique offre des opportunités sans précédent, mais s'il tombe entre de mauvaises mains, il représente une grave menace pour notre sécurité. Les entreprises de l'internet ont un rôle essentiel à jouer pour éliminer le matériel à caractère terroriste en ligne, en renforçant leurs efforts et en faisant preuve de responsabilité sociale des entreprises à l'ère du numérique».

 

Mariya Gabriel, commissaire pour l'économie et la société numériques, a indiqué pour sa part: «La Commission a décidé de s'attaquer sérieusement au problème du contenu illicite en ligne. La situation n'est pas tenable: dans plus de 28 % des cas, la suppression du contenu illicite par les plateformes prend plus d'une semaine. Nous envoyons aujourd'hui un signal clair aux plateformes afin qu'elles agissent de manière plus responsable. Cela est essentiel pour les citoyens et le développement des plateformes. 

 

Compte tenu de la prolifération des contenus illicites en ligne, notamment la propagande terroriste en ligne et les discours xénophobes et racistes incitant à la violence et à la haine, les plateformes en ligne doivent jouer un rôle de plus en plus important et accroître leur responsabilité sociale. Les nouvelles orientations publiées aujourd'hui invitent les plateformes en ligne à accentuer encore leurs efforts afin d'empêcher la diffusion de contenus illicites. Étant donné qu'elles jouent un rôle de plus en plus important dans la fourniture d'accès à l'information, la Commission attend des plateformes en ligne qu'elles prennent rapidement des mesures au cours des mois à venir, en particulier dans le domaine du terrorisme et des discours illicites d'incitation à la haine, qui sont déjà illégaux en vertu du droit de l'UE, tant en ligne que hors ligne.

 

Élimination préventive et efficace du contenu illicite

 

Pour lutter efficacement contre le contenu illicite en ligne, la Commission propose, dans un premier temps, des outils communs visant, de manière rapide et préventive, à détecter et supprimer de tels contenus ainsi qu'à en empêcher la réapparition :

 

  • Détection et notification: Les plateformes en ligne devraient coopérer plus étroitement avec les autorités nationales compétentes, en désignant des points de contact qui permettraient de pouvoir prendre rapidement contact avec elles pour supprimer des contenus illicites. Afin d'accélérer la détection, les plateformes en ligne sont incitées à collaborer avec des signaleurs de confiance, c'est-à-dire des entités spécialisées disposant d'une expertise en matière de contenu illicite. En outre, elles devraient mettre en place des mécanismes aisément accessibles afin de permettre aux utilisateurs de signaler des contenus illicites, et investir dans des technologies de détection automatique.

 

  • Suppression efficace: La suppression des contenus illicites devrait intervenir aussi rapidement que possible et peut être soumise à des délais précis lorsque les risques de dommages sont graves, comme dans les cas d'incitation à commettre des actes terroristes. La question des délais de suppression fixes fera l'objet d'une analyse plus approfondie de la Commission. Les plateformes devraient expliquer clairement à leurs utilisateurs leur politique en matière de contenu et publier des rapports de transparence précisant le nombre et le type de signalements reçus. Les entreprises de l'internet devraient également prévoir des garanties pour prévenir le risque de suppression excessive.

 

  • Prévention de la réapparition: Les plateformes devraient prendre des mesures afin de dissuader les utilisateurs de mettre en ligne de manière répétée des contenus illicites. La Commission encourage vivement l'utilisation et le développement d'outils automatiques permettant d'empêcher la réapparition d'un contenu précédemment supprimé.

 

Prochaines étapes

 

La communication adoptée aujourd'hui constitue une première étape et les initiatives qui la suivront dépendront des mesures prises par les plateformes en ligne pour mettre en œuvre les orientations de manière proactive. La Commission suivra attentivement les progrès accomplis par les plateformes dans les prochains mois et déterminera si des mesures supplémentaires s'imposent pour assurer la détection et la suppression rapides et proactives des contenus illicites en ligne, telles que des mesures législatives complétant le cadre réglementaire en vigueur. Ces travaux s'achèveront au plus tard en mai 2018.

 

Contexte

 

L'Union européenne a déjà traité le problème du contenu illicite en ligne en prenant à la fois des mesures contraignantes et des mesures non contraignantes.

 

Ces mesures législatives sont complétées par une série d'instruments non législatifs qui seront étayés par les mesures définies dans la communication adoptée aujourd'hui, comme le code de conduite visant à combattre les discours de haine illégaux en ligne ou les travaux du forum de l'UE sur l'internet en ce qui concerne la lutte contre la propagande terroriste."

 

Néanmoins, la Commission précise qu'il ne s'agit là que d'une première étape, et que les suivantes seront conditionnées par la bonne volonté des acteurs du numérique concernés «dans les prochains mois» faute de quoi elle se réserve le droit de prendre des mesures législatives afin de compléter le cadre réglementaire existant.

 

«Si les entreprises de haute technologie ne respectent pas leurs engagements, nous le ferons.» tient à avertir Vera Jourová, Commissaire européenne pour la Justice les consommateurs et l'égalité des genres. Pour elle, le «code de conduite» signé avec les géants américains du Web (Facebook, Twitter, Google et Microsoft) «peut servir d'exemple et produire des résultats.» Dans cet accord, signé il y a un peu plus d'un an entre la Commission et les gestionnaires des principales plateformes du Web, ces dernières s'engageaient notamment à supprimer tous "contenus haineux" en moins de 24h.

 

La Commission présente un premier train de mesures visant à lutter contre les contenus «illicites en ligne incitant à la haine, à la violence et au terrorisme» afin d'avancer vers l'instauration d'«une Union Européenne de la sécurité réelle et effective».

 

Pour y parvenir, l'organe exécutif européen entend forcer la main des réseaux sociaux pour qu'ils détectent plus efficacement les contenus illicites «incitant à la haine, à la violence et au terrorisme» afin de les «retirer aussi vite que possible» et propose des orientations et des principes autour de trois axes:

 

La détection et notification —où la Commission invite notamment les géants du Web à établir un «point de contact» dans chaque État membre et de renforcer leur coopération avec des associations, afin de faciliter le signalement de contenus à caractère litigieux, l'amélioration des délais de suppression de ces messages ainsi que la prévention à la réapparition de ces messages. Un dernier point pour lequel la Commission «encourage vivement l'utilisation et le développement d'outils automatiques» permettant d'empêcher la réapparition d'un contenu précédemment supprimé.

 

«Derrière cela on voit bien que c'est la liberté d'expression, politique, qui est ciblée par la Commission européenne.» dixit une députée eurosceptique

 

En cause, l'attention particulière que Mariya Gabriel porte au phénomène dit des «fake news» depuis son arrivée aux commandes du Commissariat au numérique, où elle avait annoncé vouloir constituer un groupe d'experts sur le sujet.


«Il peut y avoir aussi des intentions purement politiques, à savoir brimer- par exemple- les eurosceptiques, qui sont déjà dans le collimateur de l'Union Européenne.»

 

Rappelons que fin novembre 2016, le Parlement Européen votait une résolution visant à limiter l'activité des médias russes, accusés de propager des informations en vue «d'affaiblir l'unité de l'Europe».

 

source : SputnikNews

source : Commission Européenne

 

Lire aussi : Nouvel An juif : le 1er Ministre Edouard Philippe et le Ministre de l'Education Nationale Jean-Michel Blanquer, à la synagogue et kippa sur la tête pour annoncer un énième plan de lutte contre "l'antisémitisme". Silence maçonnique

Lire aussi : liste des 120 députés membres de l'intergroupe LICRA (lobby juif) à l'Assemblée Nationale

Lire aussi : la nouvelle Commissaire au Numérique de la Commission Européenne veut s'attaquer à l'information dissidente dite "fake news"

Lire aussi : [Rivarol] Internet et Facebook sous haute surveillance

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Lire aussi : la Commission Européenne reçoit les sectes maçonniques afin de "combattre l'antisémitisme, la haine et l’intolérance envers les musulmans" , mettre au point des outils contre "les discours haineux sur Internet" et élaborer un "contre-discours"

Voir aussi : Véronique Besse (députée MPF) au président du groupe Canal+ : "les Français ne croient pas à l'indépendance des médias"

Voir aussi : Eric Zemmour : "Beaucoup de journalistes sont juifs"

Lire aussi : la Commission Européenne va consacrer 3 millions d'euros pour "combattre l'euroscepticisme"

 

 

 

 

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31 août 2017 4 31 /08 /août /2017 17:29
la nouvelle Commissaire au Numérique de la Commission Européenne veut s'attaquer à l'information dissidente dite "fake news"

 

Mariya Gabriel, la nouvelle Commissaire au Numérique, s’apprête à prendre une des premières mesures de son mandat : mettre sur pied un) groupe d’experts sur les informations dissidentes (« fake news ») (c'est-à-dire les informations qui s'opposent au discours mondialiste-libéral-libertaire)

 

Maryia Gabriel est entrée en fonction en juillet et se prépare à mettre en place un groupe d’experts de haut niveau pour la conseiller sur les informations dissidentes  (« fake news ») dans les médias.

 

"Les plateformes [Internet] ont une obligation de diligence ", un terme juridique signifiant que les sociétés en ligne, comme Facebook ou Twitter devraient prendre des mesures pour surveiller les posts de leurs utilisateurs.

 

« Pour moi, il est aussi très important de déterminer quelles sont les bonnes pratiques, d’identifier très clairement un mécanisme de coordination et de comprendre ce que l’UE peut faire, quelle est notre valeur ajoutée dans la lutte contre les fake news », indique Mariya Gabriel.

 

Le mois prochain, la Commission européenne devrait annoncer des mesures instaurant des obligations communes pour le retrait de contenus publiés sur les réseaux sociaux. Au printemps, un groupe d’eurodéputés avait demandé à l’exécutif d’intégrer les mesures à une réglementation contraignante créant des règles communes dans toute l’Union Européenne.

 

« Il est évident que nous avons besoin d’une approche européenne, en plus des pratiques et lois nationales », estime Mariya Gabriel. « Si nous ne mettons rien en place, les exemples de fake news ne feront que se multiplier. Il est réellement important d’assurer ce type de cohérence au niveau européen. »

 

La commissaire n’a pas fourni d’information sur la composition possible du groupe d’experts qu’elle entend mettre en place, mais a indiqué qu’il était « important de collaborer tous ensemble, y compris les chercheurs, les médias, les États membres et les institutions européennes ».

 

Jean-Claude Juncker, le président de la Commission européenne, avait demandé à sa nouvelle commissaire de se pencher sur la question des informations dissidentes (« fake news ») dans la lettre de mission qu’il lui a adressée en mai, quand son nom a été avancé pour reprendre le portefeuille du numérique.

 

source : Euractiv.fr

 

Lire aussi : [Rivarol] Internet et Facebook sous haute surveillance

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Lire aussi : la Commission Européenne va consacrer 3 millions d'euros pour "combattre l'euroscepticisme"

 

 

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3 août 2017 4 03 /08 /août /2017 18:31
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27 juillet 2017 4 27 /07 /juillet /2017 17:50
Emmanuel Macron et son son ami l'israélien Patrick Drahi (patron de SFR, patron de presse (Libération, l'Express), patron de BFMTV et RMC)

Emmanuel Macron et son son ami l'israélien Patrick Drahi (patron de SFR, patron de presse (Libération, l'Express), patron de BFMTV et RMC)

Un groupe d'actionnaires minoritaires de la branche téléphonie de SFR Group conteste les décisions de son dirigeant israélien Patrick Drahi. Celui-ci se trouve être le propriétaire de la marque Altice et pourrait toucher une redevance pour son utilisation.

 

Les grandes manœuvres continuent au sein de la nébuleuse de SFR Group et d'Altice, dont l'organigramme ressemble à celui d'une usine à gaz. Et parmi les soubresauts qui parviennent à la surface, c'est le changement de nom de la Société française du radiotéléphone – créée en 1987 par la Générale des eaux – qui fait des mécontents. Accusé d'abus de biens sociaux par la Charity & Investment Merger Arbitrage (CIMA), un fonds d'investissement actionnaire minoritaire de SFR.

 

Car derrière le changement de nom, qui peut paraître anodin pour les consommateurs de forfaits téléphoniques, se cachent en réalité des enjeux financiers considérables. La marque Altice est en effet la propriété personnelle de Patrick Drahi. En cas de changement de nom, les filiales de SFR devraient ainsi payer une redevance à ce dernier pour l'utilisation de la marque Altice. Depuis la fin 2016, le fonds CIMA donne beaucoup de fil à retordre à Altice, lui reprochant en outre de vouloir faire payer intégralement par sa filiale SFR une amende infligée par l'Autorité de concurrence en mars 2017. «Nous dénonçons la manière dont Altice gère sa filiale SFR», déclarait Catherine Berjal (président de la CIMA) dans la publication spécialisée Option Finance fin juin 2017. Et de détailler : «Le groupe de médias et de télécoms a en effet récemment pris [des] décisions de gestion qui nous incitent à penser qu’il aurait agi contrairement aux intérêts de SFR et qu’il se serait ainsi rendu coupable d’un abus de biens sociaux.»

 

Depuis que SFR est tombé dans l'escarcelle de Numericable en 2014, alors qu'Emmanuel Macron venait de remplacer Arnaud Montebourg au ministère de l'Economie, Patrick Drahi, homme d'affaires, israélien résidant en Suisse, a bâti un empire médiatique dont la taille fait craindre pour la liberté de la presse en France. SFR Group possède en effet des médias comme BFMTV, RMC, Libération, ou encore L'Express.

 

Bien que déficitaire malgré les aides publiques d'Etat, ces médias semblent donc avoir une utilité économique. En intégrant son offre numérique de presse, SFR Presse, à ses forfaits téléphoniques sans en changer le prix, le groupe de Patrick Drahi fait toutefois de substantielles économies sur la TVA, 400 millions d'euros selon les estimations, en appliquant le taux réduit de 2,1%, naguère réservé à la presse papier.

 

source : Russia Today

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5 juillet 2017 3 05 /07 /juillet /2017 17:59
Le député-maire Jacques Bompard (Ligue du Sud, ancien MPF)

Le député-maire Jacques Bompard (Ligue du Sud, ancien MPF)

Jacques Bompard écrit à la Ministre de la Culture à propos du racisme anti-blanc à France Télévisions

 

source : Assemblée Nationale

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24 mars 2017 5 24 /03 /mars /2017 20:12
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8 février 2017 3 08 /02 /février /2017 20:29
la "Pravda", journal officiel du Parti Communiste de l'Union Soviétique

la "Pravda", journal officiel du Parti Communiste de l'Union Soviétique

Après le «moteur de recherche» Decodex lancé par Le Monde (détenu par Pierre Bergé, soutien de Emmanuel Macron et du Parti Socialiste) pour «vérifier» les sources d'informations alternatives, la presse autorisée lance une nouvelle initiative pour tenter de garder la main. L'AFP explique le dispositif.

 

«Afin que la campagne présidentielle française ne soit pas polluée par de fausses informations comme l'a été la campagne américaine, médias et géants du net lancent des initiatives conjointes pour tenter de limiter leur circulation», annonce l'AFP dans une dépêche du 6 février 2017.

 

L'AFP, partie prenante du projet, présente le dispositif de vérification et de surveillance de l'information en citant google : «Le site CrossCheck qui sera lancé le 27 février permettra à 16 rédactions partenaires de collaborer pour identifier et vérifier les contenus qui circulent en ligne, qu'il s'agisse de photos, de vidéos, de commentaires ou de sites d'actualité.»

 

Parmi les médias partenaires de ce projet, France Médias Monde, sous la tutelle du gouvernement via le ministère de la Culture, France Télévisions (télévision d'Etat), également actionnaire de France Médias Monde. Du côté de la presse écrite, on trouve – entre autres – Libération (journal socialiste), qui fait partie comme BFM TV, I24 News et L'Express du groupe Numéricable SFR (appartenant à l'israélien Patrick Drahi) . Mais aussi Le Monde, propriété de Pierre Bergé (soutien de Emmanuel Macron et du Parti Socialiste), Xavier Niel et Matthieu Pigasse, Les Echos, La Provence et La Voix du Nord.

 

les utilisateurs de Facebook pourront signaler un contenu qui leur paraît faux ou non conforme. Les médias partenaires se saisiront ensuite des «posts» incriminés remontés au site CrossCheck.

 

Si deux médias faisant partie du dispositif jugent que le contenu est fautif – qu'il s'agit donc de «fake news», Facebook les marquera d'une bannière d'avertissement. Le géant de l'internet se serait par ailleurs engagé à régler ses algorithmes de partage et de «ranking» afin de limiter la diffusion desdites «fake news».

 

Et c'est à une équipe d'étudiants en journalisme, explique encore l'AFP, qu'incombera la tâche de résumer et remettre «dans leur contexte chaque allégation». Ces futurs journaliste, recrutés au CFJ – une des écoles reconnues par la profession – et à Sciences Po, bénéficieront en outre d'une formation dispensée par Google, avec les conseils de leurs aînés de l'Agence France presse.

 

«On a tout intérêt à se serrer les coudes et à travailler ensemble sur ces questions», explique la directrice de l'information de l'AFP, Michèle Léridon, avant de prévenir : «La concurrence entre les médias n'est pas de mise lorsqu'il s'agit de lutter contre la désinformation et la manipulation. Entre post-vérité et complotisme, le cœur de notre métier est attaqué, nous devons riposter ensemble.»

 

source : Russia Today

 

Lire aussi : Le gouvernement va payer des blogueurs pour combattre le "complotisme"

Lire aussi : la Commission Européenne reçoit les sectes maçonniques afin de "combattre l'antisémitisme, la haine et l’intolérance envers les Musulmans" , mettre au point des outils contre "les discours haineux sur Internet" et élaborer un "contre-discours"

 

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5 janvier 2017 4 05 /01 /janvier /2017 19:50
Pour le Huffington Post, dénoncer la pédophilie c'est du "fascisme"

Le Huffington Post défend le socialiste Christophe Bejach (membre du Parti Socialiste (PS), du think-tank socialiste Terra Nova, membre du directoire du groupe Edmond Rothschild et ancien conseiller d’Arnaud Montebourg) condamné pour pédophilie.

 

Le Huffington Post a titré : "Comment la fachosphère utilise la condamnation d'un pédophile pour éclabousser Arnaud Montebourg".

 

Pour le Huffington Post, dénoncer la pédophilie, c'est donc du "fascisme".

 

Penchons nous maintenant sur les dirigeant du site français du Huffington Post :

 

Lire aussi :

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"Ne croyez pas que je sois venus apporter la paix sur Terre. Je ne suis pas venus apporter la paix; mais l'épée." (Matthieu 10:34)

"et ceux que tu trouveras, contrains-les d'entrer, afin que ma maison soit remplie." (Luc 14:23)

"Vous serez haïs de tous, à cause de mon nom" (Luc 21:16)

"On mettra la main sur vous, et l'on vous persécutera; on vous livrera aux synagogues; on vous jettera en prison, on vous mènera devant des rois et devant des gouverneurs, à cause de mon nom" (Luc 21:16)

"Dieu vomit les tièdes"

"Que toute personne soit soumise aux autorités supérieur; car il n'y a point d'autorité qui ne viennent de Dieu, et les autorités qui existent ont été instituées de Dieu. C'est pourquoi qui s'oppose à l'autorité, résiste à l'ordre que Dieu  a établi, et ceux qui résistent attireront une condamnation sur eux-mêmes" (Romains 13:1)

"Il n'y aura dans ton pays ni femme qui avorte, ni femme stérile, je remplirai le nombre de tes jours" (Exode 23:26)

"Si tu prêtes de l'argent à mon peuple, au pauvre qui est avec toi, tu ne seras point à son égard comme une créancier, tu n'exigeras de lui point d'intérêt" (Exode 22:25)


« Voter socialiste, c'est voter contre Dieu. Le programme socialiste fait frémir les enfants » (Monseigneur Lefebvre)

A propos de Pinochet « Dès qu'un homme se lève pour sauver son pays du communisme et qu'il rétablit l'ordre chrétien, on fait tout pour le discréditer. Il n'y a pas un pays où l'on puisse circuler aussi librement qu'au Chili. » (Monseigneur Lefebvre)

"Le mythe tant caressé de l'égalité ne serait pas autre chose, en fait, qu'un nivellement absolu de tous les hommes dans une commune misère et dans une commune médiocrité." (pape Léon XIII)

"Face à la colonisation islamique de la France, je crois que la laïcité est un bouclier en carton pâte, et j'irai même plus loin, je pense que la laïcité est le cheval de Troie de l'islamisation. C'est donc par l'affirmation de l'identité française, de la culture française, et du lien entre la France et son héritage chrétien, que nous pourrons répondre au défi de cette islamisation galopante." (Carl Lang)

"Beaucoup d'ennemis, beaucoup d'honneur" (Mussolini)

"Je ne compte pas demander pardon à qui que ce soit. Au contraire, ce sont aux autres de me demander pardon, les marxistes, les communistes" (Pinochet)

" On ne peut dialoguer ni avec les francs-maçons, ni avec les communistes, car on ne dialogue pas avec le diable ! " (Monseigneur Lefebvre)

" Votre innovation du PaCS, c’est tout simplement le retour à la barbarie. Vous vous inscrivez dans la suite de ceux qui, pour saper la société, ont commencé par saper la famille. La loi la mieux établie de notre vieille civilisation, vous vous apprêtez à la violenter ! Vous touchez là aux fondements de la société ! Mais un jour les victimes se lèveront et se tourneront vers vous en vous disant, une expression terrible : vous êtes le socialisme démolisseur ! " (Philippe de Villiers)

"Il n'y a pas de contraception d'urgence, cela n'existe pas." (...) vous substituez à un principe de précaution un principe de destruction en lançant une véritable guerre chimique contre l'enfant à naître" (Philippe de Villiers)

"On ne peut pas ignorer que le seul fait tangible repérable, permettant de déterminer le commencement de la vie humaine correspond à sa conception. Notre législation ne reconnaît pas l'avortement comme un droit des femmes." (Philippe de Villiers)

" La protection de la vie des sans-voix plutôt que l’eugénisme et l’avortement, la protection de la vie des malades plutôt que la seringue empoisonnée de l’euthanasie " (Philippe de Villiers)


"Tout le régime d'enseignement désigné sous le nom de laïcité représente un système complet d'embrigadement et de domestication des intelligences et des consciences populaires." (Charles Maurras)

« Prions aussi pour les Juifs perfides afin que Dieu Notre Seigneur enlève le voile qui couvre leurs cœurs et qu’eux aussi reconnaissent Jésus, le Christ, Notre-Seigneur » (Oremus et pro perfidis Judaeis, prière du Vendredi Saint)

« Les Maçons en sommeil pourraient se réveiller. En les éliminant, nous sommes sûrs qu’ils dormiront pour toujours » (Benito Mussolini)

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