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30 mars 2018 5 30 /03 /mars /2018 02:26
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27 décembre 2017 3 27 /12 /décembre /2017 19:43
Silvio Berlusconi et son ami Vladimir Poutine

Silvio Berlusconi et son ami Vladimir Poutine

Les événements qui ont acculé le gouvernement Berlusconi à la démission le 12 novembre 2011 ont déjà fait couler beaucoup d’encre en Italie, mais curieusement très peu en France. Cela aurait dû, car Sarkozy était à la manœuvre avec Merkel et Obama. Dans un livre écrit par le journaliste Roberto Napoletano, ancien directeur du site d’information Sole24Ore, sous le titre Il Cigno nero e il Cavaliere bianco. Diario italiano della grande crisi (« Le cygne noir et le chevalier blanc. Journal italien de la grande crise »), qui doit sortir demain dans les librairies italiennes, l’ancien Premier ministre italien et ancien président de la Commission européenne (de 1999 à 2004) Romano Prodi fait part de ses gros doutes relatifs à la crise des écarts de taux et aux pressions internationales intenses dont a été victime le gouvernement de Berlusconi au cours des mois antérieurs à sa démission. L’on apprend dans ce livre, dont la presse italienne a déjà divulgué certains passages, qu’il s’agissait, selon Romano Prodi, de faire payer à Berlusconi les positions de l’Italie en faveur de Kadhafi, de Poutine et de l’Iran. Une telle opération n’aurait sans doute pas été possible sans l’action de plusieurs agences de notation qui ont au moment crucial abaissé la note de l’Italie sans réelle justification économique.
 
La thèse n’est pas nouvelle puisqu’elle a déjà été soutenue par des témoins directs. C’est ainsi que l’ancien Premier ministre espagnol José Luis Zapatero a affirmé, dans une interview accordée au journal italien La Stampa en mars 2015, qu’au G20 de Cannes du 3 au 4 novembre 2011, Silvio Berlusconi et Giulio Tremonti (son ministre de l’économie et des finances) avaient été soumis à une pression énorme pour accepter un prêt du FMI dont ils ne voulaient pas afin de préserver leur autonomie de décision. Selon Zapatero, « les Etats-Unis et les partisans de la rigueur budgétaire voulaient décider eux-mêmes pour l’Italie et remplacer le gouvernement italien ». Ce que Silvio Berlusconi et son ministre des Finances ne savaient peut-être pas, c’est que si on leur proposait de se tourner vers le FMI, c’était en fait aussi pour obtenir leur démission en échange de ce prêt. Dans le livre Stress Test : Reflections on Financial Crisis, l’Américain Timothy Geithner, secrétaire du Trésor des Etats-Unis de 2009 à 2013, affirme : « A un moment donné, les fonctionnaires de l’Union européenne se sont tournés vers nous pour participer à un complot en vue de renverser Berlusconi. Ils voulaient que nous bloquions un prêt du FMI en faveur de l’Italie, en faisant dépendre notre accord de la démission de Berlusconi. »


 
Le livre de Roberto Napoletano insiste quant à lui sur le rôle joué par la France de Sarkozy, y compris par l’intermédiaire du président de la BCE de l’époque, le Français Jean-Claude Trichet, et l’Allemagne, en particulier avec le rôle joué par la Deutsche Bank. Le tout avec le soutien du président italien d’alors qui était l’ancien communiste Giorgio Napolitano. Napolitano, dès le mois de juin 2011, sondait Mario Monti en vue de lui confier la formation d’un nouveau gouvernement. Et ce sera bien Monti qui prendra les rênes du gouvernement italien le 16 novembre 2011, après plusieurs mois au cours desquels les médias faisaient état de conversations téléphoniques fréquentes du président Napolitano avec le président français Nicolas Sarkozy et la chancelière allemande Angela Merkel. Il n’est pas inutile de rappeler le parcours d’eurocrate de Mario Monti, puisqu’il avait été commissaire européen à la concurrence (1999-2004) et au marché intérieur (1995-99). C’était donc un homme de confiance pour Bruxelles, Paris et Berlin.
 

Le rôle de la Deutsche Bank et des agences de notation dans la démission de Berlusconi en 2011

 
Le plan A (prêt du FMI) a certes échoué, mais le plan B a été en revanche couronné de succès. Au début du mois de novembre 2011, l’Italie avait été acculée à la faillite par l’augmentation totalement disproportionnée du différentiel de taux (« spread ») entre ses titres de dettes et les titres de dette allemands. Alors que les fondamentaux n’avaient pas changé, ce différentiel était en effet passé de 171 points (1,71 %) à la fin juin 2011 à 553 points le 9 novembre 2011, après le sommet du G20 à Cannes. Le 30 juin 2011, la Deutsche Bank avait soudainement vendu la quasi-totalité de ses titres de dette italiens, d’une valeur de 8 milliards d’euros, entraînant un effet de panique sur les marchés. La question reste ouverte de savoir si les agences de notation Fitch, Moody’s et Standard & Poor’s n’ont fait que réagir aux événements ou si elles ont au contraire sciemment alimenté la spéculation sur la dette italienne en abaissant la note de l’Italie. Trois ans après la démission de Berlusconi, l’écart de taux n’était plus que de 107 points malgré une dette à 134 % du PIB contre 120 % en 2011 et un chômage plus élevé. En mars 2017, le tribunal de Trani a toutefois renoncé à condamner les six dirigeants de ces agences de notation qui étaient poursuivis par le parquet italien pour « complot contre l’Italie » ourdi par « la grande finance internationale ». Les juges ont considéré que les faits avaient cessé d’être et que les agissements de ces dirigeants n’avaient pas été délictueux au regard du droit italien.
 

L’Italie de Berlusconi s’appuyait sur Khadafi pour bloquer l’immigration illégale en Libye : Khadafi mort, il fallait encore se débarrasser de Berlusconi

 
Si Sarkozy, Merkel, Obama et peut-être Juncker (président de l’Eurogroupe de 2005 à 2013) ont effectivement souhaité se débarrasser de Berlusconi, c’est peut-être aussi, après avoir semé le chaos en Libye, pour ouvrir en grand les portes de l’Italie à l’immigration illégale massive. On ne rappellera jamais assez les propos sur l’immigration de Peter Sutherland, le représentant spécial du Secrétaire général de l’ONU pour les migrations internationales, ancien directeur de l’OMC et ancien commissaire européen, ancien président de la banque Goldman Sachs, ancien président de la section européenne de la Trilatérale et ancien membre du comité directeur du groupe Bildeberg. Lors d’une audition devant la Chambre des Lords à Londres en 2012, Sutherland expliquait sa vision de la gestion des phénomènes migratoires en affirmant que l’immigration est un facteur essentiel de la croissance économique, même si c’est difficile à expliquer aux citoyens, et que l’Union européenne devrait tout faire pour saper l’homogénéité de ses États membres et les particularismes nationaux en créant, par l’immigration de masse, des sociétés multiculturelles.

 

Mario Monti, qui avait remplacé Berlusconi après la démission de ce dernier le 12 novembre 2011 sous la pression des marchés financiers, comparaissait juste avant les fêtes de Noël devant la commission parlementaire d’enquête sur le système bancaire et financier. Renato Brunetta, le chef du groupe Forza Italia, qui demande depuis des années « la vérité pour les Italiens et pour l’histoire » à propos de la crise financière de 2011, est vice-président de cette commission, et Monti a donc dû s’expliquer sur ces événements qui ont conduit à la démission du gouvernement de Berlusconi sous la pression combinée du président italien Giorgio Napolitano, un ancien communiste, de Bruxelles, de Nicolas Sarkozy, d’Angela Merkel, de la Deutsche Bank et des agences de notation.
 

L’eurocrate Mario Monti a-t-il participé à un complot de Bruxelles et d’Angela Merkel pour faire tomber le gouvernement Berlusconi en 2011 ?

 
L’eurocrate Mario Monti – il avait été commissaire européen au Marché intérieur puis à la Concurrence avant de prendre la présidence du Conseil en Italie – a toutefois nié l’hypothèse d’un complot international contre Silvio Berlusconi et son gouvernement de coalition des droites incluant la Ligue du Nord, c’est-à-dire le parti allié au Front national français au Parlement européen. Pour Monti, l’UE a tout simplement été « très active dans son soutien à l’Italie », avec notamment, a-t-il souligné, des rachats massifs de bons du trésor italiens par la BCE. Pour Monti, c’est l’augmentation très rapide des écarts de taux (« spread ») entre les titres de dettes italiens et les titres allemands qui ont mis l’Italie, très endettée, en difficulté en 2011. Monti n’a toutefois pas levé les doutes sur ce qui avait provoqué l’augmentation du spread sans véritable justification économique : la dette de l’Italie était stable et ses fondamentaux aussi. Sans spéculation sur les écarts de taux, Rome n’aurait pas été mise en difficulté pour assurer le service de sa dette. Or plusieurs dirigeants et hauts fonctionnaires internationaux ont, plusieurs années après, révélé l’existence probable d’une machination politique derrière la spéculation sur la dette italienne de juin à novembre 2011.
 

Cinq anciens dirigeants de la Deutsche Bank sous la loupe du parquet de Milan en raison de possibles manipulations des marchés en 2011

 
Selon ce qu’ils ont rapporté, la Deutsche Bank a joué un rôle décisif pour lancer la spirale de la spéculation en juin-juillet 2011. Et, si le tribunal de Trani n’a finalement pas condamné les six dirigeants d’agences de notation qui étaient poursuivis par le parquet italien, cinq anciens dirigeants de la banque allemande font toujours l’objet d’une enquête du parquet de Milan où le dossier, ouvert depuis deux ans, a été transféré par le parquet de Trani. L’enquête du parquet italien concerne les ventes massives de titres de dette italiens par la Deutsche Bank au cours du premier semestre 2011. Ces ventes, qui lui avaient permis de se débarrasser de 7 milliards d’euros en bons du trésor italiens sur les 8 milliards qu’elle détenait, fut annoncée aux marchés le 26 juillet 2011, ce qui eut l’effet d’une bombe. Le Financial Times titra alors sur la fuite des investisseurs internationaux de la troisième économie de la zone euro. Selon l’accusation préparée par le parquet de Milan, la Deutsche Bank avait toutefois, à la date de son annonce, déjà racheté sans le dire pour au moins deux milliards de bons du trésor italien. Parallèlement, une société allemande rachetée par la Deutsche Bank en 2010 détenait pour 4,5 milliards de titres de dette italiens, ce dont les marchés n’avaient pas non plus conscience lors de l’annonce du 26 juillet. Pour le parquet de Milan, il semble donc y avoir eu une manipulation volontaire des marchés qui fut sans doute une opération juteuse pour la Deutsche Bank, mais qui déclencha la crise financière à l’origine de la chute du gouvernement des droites de Silvio Berlusconi en novembre 2011.

 

source : Réinformation.tv

 

Lire aussi : [les Echos / Challenges.fr / Jacques Sapir] Italie / Monnaie Unique : marchés financiers et UE ont peur de Silvio Berlusconi qui veut créer une monnaie nationale parallèle à l'euro

Lire aussi : Les preuves du complot mondial pour faire tomber Silvio Berlusconi en 2011

Lire aussi : Magdi Cristiano Allam (Io Amo l'Italia / EFD) veut faire la lumière sur le complot mondial organisé afin d'obtenir la démission de Berlusconi en 2011

Lire aussi : Silvio Berlusconi : "Kadhafi était le seul homme à pouvoir maintenir l’unité de la Libye"

Lire aussi : Berlusconi : La rebellion libyenne n’est «pas un soulèvement populaire»

 

 

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25 août 2017 5 25 /08 /août /2017 14:56
Silvio Berlusconi et son ami Vladimir Poutine

Silvio Berlusconi et son ami Vladimir Poutine

Silvio Berlusconi, le leader de Forza Italia, a évoqué la création d’une monnaie parallèle. La thématique anti-euro gagne de l’importance avant les élections italiennes. Ses déclarations ont provoqué des tensions sur le « spread » italien.

 

Silvio Berlusconi fait de nouveau peur aux marchés financiers et à l'Union Européenne. Berlusconi, le trublion de la vie politique italienne, qui avait été poussé à la démission en 2011 par un complot organisé par Merkel, Sarkozy, l'UE, les USA, les marchés financiers, le FMI, la gauche italienne et le grand patronat italien (la Confindustria), vient d'annoncer qu'il était en faveur d'une monnaie parallèle pour son pays. Une déclaration qui a immédiatement provoqué des tensions sur la dette italienne lundi, selon les analystes d'ING. L'écart de taux avec l'Allemagne (le fameux « spread ») atteint 169 points de base.

 

Le leader du parti Forza Italia, qui se positionne pour les prochaines élections générales prévues au plus tard au printemps 2018, a déclaré au journal Libero Quotidiano, que l'introduction d'une monnaie parallèle à l'euro serait un moyen efficace pour l'Italie de regagner sa souveraineté monétaire et de soutenir la demande interne.

 

Première étape avant une sortie de l'euro

 

La Ligue du Nord, alliée de Berlusconi propose, elle, de créer une sorte de « mini Bon du Trésor ». Il s'agirait de titres de court terme, sans coupon, utilisés pour des paiements internes. La Ligue du Nord considère que ce serait une première étape dans la transition vers une sortie de l'euro.

 

Selon le journal italien, l'idée d'une nouvelle monnaie pourrait en tout cas aider Forza Italia et son allié de la Ligue du Nord à formuler un programme politique commun.

 

« une alliance entre Forza Italia et la Ligue du Nord d'ici aux prochaines élections paraît de plus en plus probable... », commente un analyste de la banque Citi (CitiBank / CitiGroup). « Si une telle alliance est scellée, ce groupe politique est celui qui pourrait obtenir le plus de voix, même s'il n'obtiendrait peut-être pas la majorité parlementaire à considérer que la loi électorale actuelle est toujours en vigueur ». Avec un autre parti, le Mouvement 5 Etoiles, qui fait aussi campagne contre l'euro, plus de deux tiers des électeurs soutiendraient une ligne anti-monnaie unique, relève l'analyste.

 

Après le spectre d'un Frexit, qui a hanté le marché de la dette française avant l'élection d'Emmanuel Macron, le spectre d'une sortie de l'Italie de l'euro pourrait susciter une panique des marchés financiers et de l'Union Européenne. « Le risque politique en Italie est élevé et devrait se traduire dans les prix de marché à l'approche des élections », prédit l'analyste de Citi. Même constat chez la banque ING, qui estime que le « spread » de l'Italie pourrait passer au-dessus du seuil de 225 points de base.

 

"Berlusconi n'a jamais été un ardent défenseur de l'euro. En 1996, il a milité contre l'adhésion de l'Italie à la monnaie commune et contre la "taxe européenne" instaurée par Romano Prodi afin de permettre à la péninsule de rentrer dans le club de l'euro. Durant son dernier mandat, entre 2008 et 2011, il a régulièrement accusé l'euro d'être responsable de la faible croissance de l'Italie, car il empêchait de recourir à la dévaluation." dixit Le Point - 06/2012

 

Ce n'est pas la première fois que Silvio Berlusconi évoque la sortie de l'euro :

 

 

 

 

  •  
tract de Alessandra Mussolini (Forza Italia) pour les Elections Européennes 2014 : "si la politique monétaire ne change pas, la réalité nous obligera a sortir de l'euro"

tract de Alessandra Mussolini (Forza Italia) pour les Elections Européennes 2014 : "si la politique monétaire ne change pas, la réalité nous obligera a sortir de l'euro"

 

source : les Echos

 

Le projet de Silvio Berlusconi de créer une monnaie nationale parallèle à l'euro a renforcé les inquiétudes des marchés financiers et de l'Union Européenne sur le rejet de la monnaie unique européenne par une proportion croissante de la population en Italie où des élections générales se dérouler le 23 mai 2018 au plus tard.

 

"Des gens font référence à cet article dans lequel Berlusconi a développé son idée d'une monnaie parallèle", a dit Benjamin Schroeder, stratégiste sur les taux chez ING. "Ce n'est pas une idée nouvelle mais ce que l'on voit c'est que certains commencent à se positionner en vue des élections italiennes et des histoires comme celles-là retiennent de plus en plus l'attention."

 

"L'idée d'une monnaie parallèle en Italie pourrait aussi être un moyen pour Silvio Berlusconi de trouver un terrain d'entente avec ses alliés politiques de la Ligue du Nord et de Fratelli d'Italia", a dit Lorenzo Codogno, professeur invité à la London School of Economics.

 

source : Challenges.fr

 

"L’Italie, l’euro et Berlusconi", par Jacques Sapir

 

Les récentes déclarations de Silvio Berlusconi sur la nécessité pour l’Italie d’adopter « deux monnaies » ont relancé les spéculations sur l’attachement de ce pays à l’euro. La montée de « l’euroscepticisme » est flagrante aujourd’hui en Italie. Or, une crise en provenance de l’Italie aurait des conséquences bien plus importantes qu’une (probable au demeurant) en provenance de la Grèce, du fait de la taille et du poids de l’économie italienne.

 

Il est évident que la dégradation continue de la situation économique en Italie depuis ces dernières années impose des mesures radicales. Il est tout aussi évident que seule une sortie de l’euro est en mesure de sauver l’économie italienne, mais aussi par conséquence ses banques, qui sont de plus en plus lourdement chargées en « mauvaises dettes ». Ces « mauvaises dettes » ou « prêts non-performant » comme on les appelle dans les milieux financiers, sont directement issues des petites et moyennes entreprises de la Péninsule qui subissent de plein fouet la stagnation économique engendrée par l’euro. On peut voir, d’ailleurs, sur les comptes de compensation de la Banque Centrale Européenne, ce que l’on appelle les comptes « Target2 » la dégradation constante de la situation italienne depuis ces dernières années.

 

1 – Compte Target2

 

Mais, ce que ne disent pas ces statistiques c’est la détérioration profonde de l’économie, mais aussi de la société, italienne du fait de l’euro. Il suffit, pour s’en convaincre, de regarder quelques graphiques. En termes de croissance, et de volume du PIB, l’économie italienne, qui était sur une trajectoire de forte croissance de 1995 à 1999, est aujourd’hui retombée à son niveau de 2000, soit l’année de l’entrée dans l’euro. Mais, ce qui est pire est que, quand on regarde le PIB par habitant, un indicateur du niveau de vie, on constate que l’Italie à régressé au niveau de 1997. Le décrochage de l’Italie par rapport aux deux autres pays « majeurs » de la zone euro, l’Allemagne et la France, apparaît nettement sur le premier de ces deux graphiques.

 

2 – Indice du PIB

 

3 – Indice du PIB par habitant

 

La conséquence est un véritable effondrement de l’investissement qui est, aujourd’hui et depuis 2012, en dessous du niveau qu’il avait atteint en 1995. Cela se traduit par une dégradation rapide des infrastructures publiques mais aussi privées (le logement), dégradation qui a un impact important sur le niveau de vie de la population italienne.

 

4 – Investissement

 

Cette dégradation du niveau de vie se traduit, aussi, dans la formation de l’épargne, que celle-ci soit le fait des particuliers ou des entreprises. L’épargne italienne est largement inférieure à ce qu’elle était en 1995, et si elle est redevenue supérieure à l’investissement depuis 2012 c’est uniquement lié à l’effondrement spectaculaire de ce dernier.

 

5 – Équilibre Épargne/Investissement

 

La raison de cette remontée apparente de l’épargne (par rapport à l’investissement) est l’explosion de la dette publique en Italie, une dette qui baissait depuis 1996 mais qui ré-augmente de manière spectaculaire depuis 2007 après s’être stabilisée à partir de 2003, soit 3 années après l’entrée de l’Italie dans l’euro.

 

6 – Dette publique (en % du PIB)

 

On voit très clairement que le seul espoir pour l’économie italienne est de sortir de l’euro au plus vite, mais la complexité du système politique italien, les tergiversations du Movimente 5 Stelle de Beppe Grillo en particulier, et les intérêts particuliers solidement construits dans une large partie de l’élite politique, rendent cette solution de bon sens peut probable à très court terme. Il est cependant clair que la classe politique italienne a les yeux rivés sur la scène politique française. Une sortie de l’euro par la France donnerait à la classe politique italienne le prétexte rêvé pour sortir à son tour, sans rencontrer de trop fortes oppositions.

 

source : Jacques Sapir via Egalité & Réconciliation

 

Lire aussi : Berlusconi veut moins d'Europe

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2 mars 2017 4 02 /03 /mars /2017 18:00
Giorgio Almirante, fondateur du MSI (Mouvement Social Italien)

Giorgio Almirante, fondateur du MSI (Mouvement Social Italien)

[Radio Libertés] 70ème anniversaire de la création du MSI (Mouvement Social Italien)

ouvrage sur l'histoire du MSI - Mouvement Social Italien à commander sur Synthese Editions

 

source : Radio Libertés

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30 novembre 2016 3 30 /11 /novembre /2016 17:16
Silvio Berlusconi et Umberto Bossi (leader historique de la Ligue du Nord)

Silvio Berlusconi et Umberto Bossi (leader historique de la Ligue du Nord)

Dans l'optique où la gauche italienne de Matteo Renzi tomberai lors du référendum constitutionnel de dimanche prochain,  Berlusconi a annoncé sa candidature en tant que leader de la droite. Ce qui a provoqué une forte tension surtout au sein de la Ligue du Nord, actuellement dirigée par Matteo Salvini. En revanche, les partisans de Berlusconi sont soulagés de son retour et ils sont en train d’essayer de trouver un accord avec la Ligue du Nord sur la loi électorale.

 

 

Umberto Bossi (leader historique de la Ligue du Nord) soutient Silvio Berlusconi et Giorgia Meloni (Fratelli d'Italia) et désavoue Matteo Salvini

 

« Le retours de Silvio Berlusconi ? Il a raison car il peut compter sur un grand nombre de voix. Il est en forme. Je lui ai parlé récemment. S’il a un bon programme, il peut obtenir des résultats. Salvini n’a pas de programme et lors des élections sérieuses comme celles de Milan, la Ligue du Nord s’écroule. Voilà pourquoi j’invoque un congrès car la base ne veut pas de Salvini. Le 4 décembre Renzi sera anéanti» dixit Umberto Bossi (leader historique de la Ligue du Nord)


Umberto Bossi a dit aussi qu'il "aime bien Giorgia Meloni car elle dit des choses sensés" et que "Berlusconi est le seul qui puisse unir la droite."

 

Giorgia Meloni et Marine Le Pen

 

Silvio Berlusconi et Giorgia Meloni

 

 

 

 

 

 

 

source : Il Messagero

source : Il Corriere de la Serra

source : Huffington Post - Italie

 

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29 septembre 2016 4 29 /09 /septembre /2016 15:04
Silvio Berlusconi et son ami Vladimir Poutine

Silvio Berlusconi et son ami Vladimir Poutine

Silvio Berlusconi, qui a fêter jeudi 29 septembre ses 80 ans, a reçu les voeux du président russe, Vladimir Poutine.

 

Vladimir lui a envoyé un télégramme officiel jeudi matin, avant de l'appeler au téléphone pour lui souhaiter "santé de fer et succès".

 

Silvio Berlusconi fondateur et toujours chef de Forza Italia à rencontrer, mercredi, ses alliés : Matteo Salvini, le patron de la Ligue du Nord et Giorgia Meloni, présidente du parti Fratelli d'Italia, pour afficher un front uni pour le Non au référendum constitutionnel du 4 décembre sur lequel le premier ministre Matteo Renzi joue son avenir politique.

 

source : Le Point

 

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9 janvier 2016 6 09 /01 /janvier /2016 19:51
Silvio Berlusconi veut renverser la gauche italienne

Silvio Berlusconi, 79 ans, a déclaré aux médias italiens qu'il allait remettre en marche son parti Forza Italia et mettre en échec la coalition de centre gauche de Matteo Renzi.

 

Cette année "sera l'année de la bataille contre le régime de la gauche qui met en péril la démocratie", a déclaré Berlusconi à son journal Il Giornale ,  faisant référenceà la politique de Matteo renzi qui a pris ses fonctions au terme d'un lutte de pouvoir interne au sein du Parti démocrate (PD), mais qui n'a pas encore gagné une élection parlementaire.

 

Silvio Berlusconi, a, lui remporté 3 élections nationales en 14 ans, avant d'être contraint à la démission, à cause d'un complot orchéstrée contre lui, par Merkel et Sarkozy.

 

Berlusconi a aussi déclaré que son parti Forza Italia, la Ligue du Nord et Fratelli d'Italia présenteront un front uni lors des élections municipales prévues cette année à Rome, Milan, Naples et Bologne.

 

Selon les derniers sondages , si Forza Italia, la Ligue du Nord et Fratelli d'italia parviennent à unir leurs forces, ils pourraient menacer sérieusement le gauche.

 

La prochaine élection parlementaire se tiendra en 2018, mais selon les dires des spécialistes politiques, elle pourrait être avancée en raison de l'instabilité de la coalition au pouvoir que dirige Matteo Renzi.

 

"Je m'engage à faire revenir Forza Italia au dessus de 20%, de sorte quela droite gagne les élections au premier tour en dépassant 40%" à conclu Silvio Berlusconi.

 

Une nouvelle loi électorale introduite par Matteo Renzi exige en effet de procéder à un nouveau tour de scrutin entre les deux partis qui auront recueilli le plus de voix, si aucun d'eux ne parvient à recueillir 40% des voix au premier tour.

 

 

source : Russia Today

 

Lire aussi : Les preuves du complot mondial pour faire tomber Silvio Berlusconi en 2011

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8 novembre 2015 7 08 /11 /novembre /2015 17:58
"Plus d'Italie en Europe. Moins d'Europe en Italie"

"Plus d'Italie en Europe. Moins d'Europe en Italie"

"Notre programme s'articule autour de trois moins et de trois plus. Moins d'impôts, moins d’État et moins d'Europe et plus d'aide à ceux qui en ont besoin, plus de garanties pour tous, plus de sécurité", a lancé Silvio Berlusconi au cours d'une manifestation organisée à Bologne avec ses alliés eurosceptiques de la Ligue du Nord.

 

"Etes-vous disposés encore à supporter une Europe qui nous impose des impôts et l'austérité ?", a-t-il lancé, obtenant un "non" de la foule. "Etes-vous disposés encore à supporter une Europe qui nous impose des sanctions contre la Russie avec les dommages qui en découlent pour l'économie italienne", a poursuivi Silvio Berlusconi.

 

La manifestation a été ponctuée par des heurts entre les forces de l'ordre et des jeunes de l'extrême gauche qui entendaient protester contre ce rassemblement.
 
 
 
source : Les Echos
 
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9 octobre 2015 5 09 /10 /octobre /2015 14:54
Silvio Berlusconi

Silvio Berlusconi

« Je suis un séducteur-né. »

 

Véritable événement mondial : Silvio Berlusconi a accepté de livrer ses mémoires à travers cet ouvrage. De son enfance dans les faubourgs de Milan pendant la Seconde Guerre mondiale à son premier contrat immobilier, en passant par ses jeunes années comme crooner et guide touristique, l’ancien Premier ministre italien, magnat du sport et des médias, revient sur son parcours avec un franc-parler stupéfiant. Il évoque sans fard ses réussites fulgurantes et ses échecs, mais aussi ses plus grands amis et ennemis politiques, de Vladimir Poutine à Nicolas Sarkozy.

 

Longtemps correspondant à Milan pour le Financial Times, Alan Friedman connaît Silvio Berlusconi depuis trente ans. En 2014, il lui a demandé de lui raconter sa vie, et a eu accès à ses archives, à sa famille et ses collaborateurs. Il lui a proposé d’en faire une série d’interviews pour la télévision et un livre. Alan Friedman a posé ses conditions : ce ne sera pas une hagiographie mais un portrait, où l’ancien dirigeant de l’Italie n’apparaîtra ni comme un saint, ni comme une victime.

 

À vous de juger.

 

Date de parution : 15/10/15

Editeur : Michel LAFON
ISBN :   9782749927756

 

 

Silvio Berlusconi - enfance :

Silvio Berlusconi, bébé

Silvio Berlusconi, bébé

Berlusconi, enfant

Berlusconi, enfant

"My Way", le livre biographique de Silvio Berlusconi
"My Way", le livre biographique de Silvio Berlusconi
"My Way", le livre biographique de Silvio Berlusconi
"My Way", le livre biographique de Silvio Berlusconi
Silvio Berlusconi, son père, sa mère et sa soeur

Silvio Berlusconi, son père, sa mère et sa soeur

Silvio Berlusconi - jeunesse

"My Way", le livre biographique de Silvio Berlusconi
"My Way", le livre biographique de Silvio Berlusconi
"My Way", le livre biographique de Silvio Berlusconi

Silvio Berlusconi, chansonnier

"My Way", le livre biographique de Silvio Berlusconi
"My Way", le livre biographique de Silvio Berlusconi

Silvio Berlusconi, président du club de football Milan AC

Paolo Maldini et Silvio Berlusconi

Paolo Maldini et Silvio Berlusconi

Jean-Pierre Papin

Jean-Pierre Papin

Paolo Di Canio

Paolo Di Canio

Roberto Baggio, Silvio Berlusconi et George Weah

Roberto Baggio, Silvio Berlusconi et George Weah

Silvio Berlusconi et Andreï Shevchenko

Silvio Berlusconi et Andreï Shevchenko

Marco Van Basten et Silvio Berlscuoni

Marco Van Basten et Silvio Berlscuoni

Silvio Berlusconi - adulte

"My Way", le livre biographique de Silvio Berlusconi
"My Way", le livre biographique de Silvio Berlusconi
"My Way", le livre biographique de Silvio Berlusconi

Silvio Berlusconi : la famille

Silvio Berlusconi, sa première femme et ses enfants

Silvio Berlusconi, sa première femme et ses enfants

les enfants de Berlusconi (de gauche à droite) :Eleonora, Pier Silvio, Marina, Silvio Berlusconi, Barbara, Luigi,

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Silvio Berlusconi et ses enfants : Pier Silvio et Barbara

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Silvio Berlusconi - politique

Silvio Berlusconi : "Pour un nouveau miracle italien"

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Silvio Berlusconi et Margaret Thatcher

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Anticommunisme : Luca Zaia (Ligue du Nord), Silvio Berlusconi, Mario Borghezio (Ligue du Nord) : "Grâce à Dieu, en famille nous n'avons pas de communistes"

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"My Way", le livre biographique de Silvio Berlusconi
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le pape Benoit XVI et Silvio Berlusconi. Silvio Berlusconi communie.
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Silvio Berlusconi et le nationalisme fasciste

salut romain de Silvio Berlusconi

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"My Way", le livre biographique de Silvio Berlusconi
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Maria Antonietta Cannizzaro (MSI - Droite Nationale) et Silvio Berlusconi

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Alessandra Mussolini (petite fille du Duce, Benito Mussolini) et Silvio Berlusconi

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"My Way", le livre biographique de Silvio Berlusconi
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Pino Rauti et Silvio Berlusconi  : "Contre (Romano) Prodi"

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Assunta Almirante (veuve de Giorgio Almirante, fondateur du MSI) et Silvio Berlusconi

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Silvio Berlusconi et Francesco Storace (fondateur du parti "La Droite" et ancien chauffeur de Giorgio Almirante)

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Silvio Berlusconi et Gianfranco Fini

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Silvio Berlusconi et la Ligue du Nord

Silvio Berlusconi et Umberto Bossi (fondateur de la Ligue du Nord)
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Silvio Berlusconi - tournant eurosceptique

(Elections Européenne 2014) : "Plus d'Italie en Europe. Moins d'Europe en Italie.

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(Elections Européenne 2014) : "ça suffit l'euro, monnaie étrangère"

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(Elections Européenne 2014) : "Plus d'Italie, moins d'Allemagne"

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Silvio Berlusconi et Viktor Orban (1er ministre hongrois)

"My Way", le livre biographique de Silvio Berlusconi

Silvio Berlusconi et son ami le président russe Vladimir Poutine

"My Way", le livre biographique de Silvio Berlusconi
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8 octobre 2015 4 08 /10 /octobre /2015 14:32
Silvio Berlusconi et son ami Vladimir Poutine

Silvio Berlusconi et son ami Vladimir Poutine

La Russie est fière de son indépendance et agit en conséquence, a déclaré l’ancien premier ministre italien Silvio Berlusconi, cité par le quotidien italien Il Giornale.

 

"La Fédération de Russie est un exemple évocateur de la manière dont tout pays fier de son indépendance, de ses objectifs et de son droit de se tenir debout est censé agir", a-t-il fait remarquer.

 

Selon Silvio Berlusconi, la Russie "cherche à conserver son authenticité dans un monde globalisé" et "ne refuse pas de jouer un rôle de premier plan".

 

"Dans la lutte contre l'Etat Islamique, la coopération avec la Russie est une question d'importance capitale", a-t-il relevé.

 

D'après l'ancien premier ministre, seules des "démarches coordonnées de tous les acteurs politiques principaux, notamment la Russie, l'Europe, les Etats-Unis et la Chine, sont aptes à éliminer l'Etat islamique".

 

"Je ne pense pas que les démarches solitaires soient efficaces afin de gérer le conflit en Irak et dans les pays voisins déchaîné par l'Etat Islamique", a-t-il expliqué.

 

Le 30 septembre, l'Armée de l'air russe a entamé une opération militaire contre l'EI en Syrie sur décision du président russe Vladimir Poutine et à la demande du président syrien Bachar el-Assad. Les frappes aériennes russes ciblent les sites militaires, les centres de communication, les transports, ainsi que les stocks d'armes, de munitions et de combustible appartenant à l'Etat Islamique.

 

Le 7 octobre, des missiles russes ont également été tirés sur les sites de l'Etat Islamique depuis des navires en mer Caspienne.

 

Au total, les Forces aérospatiales russes ont effectué 112 frappes contre les positions de l'Etat Islamique en Syrie depuis le début de l'opération aérienne le 30 septembre dernier. Les navires de la Flottille russe de la Caspienne ont en outre tiré 26 missiles de croisière Kalibr, détruisant 11 cibles à une distance de 1.500 km.

 

 

 

source : SputnikNews

 

 

 
 

 
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"Vous serez haïs de tous, à cause de mon nom" (Luc 21:16)

"On mettra la main sur vous, et l'on vous persécutera; on vous livrera aux synagogues; on vous jettera en prison, on vous mènera devant des rois et devant des gouverneurs, à cause de mon nom" (Luc 21:16)

"Dieu vomit les tièdes"

"Que toute personne soit soumise aux autorités supérieur; car il n'y a point d'autorité qui ne viennent de Dieu, et les autorités qui existent ont été instituées de Dieu. C'est pourquoi qui s'oppose à l'autorité, résiste à l'ordre que Dieu  a établi, et ceux qui résistent attireront une condamnation sur eux-mêmes" (Romains 13:1)

"Il n'y aura dans ton pays ni femme qui avorte, ni femme stérile, je remplirai le nombre de tes jours" (Exode 23:26)

"Si tu prêtes de l'argent à mon peuple, au pauvre qui est avec toi, tu ne seras point à son égard comme une créancier, tu n'exigeras de lui point d'intérêt" (Exode 22:25)


« Voter socialiste, c'est voter contre Dieu. Le programme socialiste fait frémir les enfants » (Monseigneur Lefebvre)

A propos de Pinochet « Dès qu'un homme se lève pour sauver son pays du communisme et qu'il rétablit l'ordre chrétien, on fait tout pour le discréditer. Il n'y a pas un pays où l'on puisse circuler aussi librement qu'au Chili. » (Monseigneur Lefebvre)

"Le mythe tant caressé de l'égalité ne serait pas autre chose, en fait, qu'un nivellement absolu de tous les hommes dans une commune misère et dans une commune médiocrité." (pape Léon XIII)

"Face à la colonisation islamique de la France, je crois que la laïcité est un bouclier en carton pâte, et j'irai même plus loin, je pense que la laïcité est le cheval de Troie de l'islamisation. C'est donc par l'affirmation de l'identité française, de la culture française, et du lien entre la France et son héritage chrétien, que nous pourrons répondre au défi de cette islamisation galopante." (Carl Lang)

"Beaucoup d'ennemis, beaucoup d'honneur" (Mussolini)

"Je ne compte pas demander pardon à qui que ce soit. Au contraire, ce sont aux autres de me demander pardon, les marxistes, les communistes" (Pinochet)

" On ne peut dialoguer ni avec les francs-maçons, ni avec les communistes, car on ne dialogue pas avec le diable ! " (Monseigneur Lefebvre)

" Votre innovation du PaCS, c’est tout simplement le retour à la barbarie. Vous vous inscrivez dans la suite de ceux qui, pour saper la société, ont commencé par saper la famille. La loi la mieux établie de notre vieille civilisation, vous vous apprêtez à la violenter ! Vous touchez là aux fondements de la société ! Mais un jour les victimes se lèveront et se tourneront vers vous en vous disant, une expression terrible : vous êtes le socialisme démolisseur ! " (Philippe de Villiers)

"Il n'y a pas de contraception d'urgence, cela n'existe pas." (...) vous substituez à un principe de précaution un principe de destruction en lançant une véritable guerre chimique contre l'enfant à naître" (Philippe de Villiers)

"On ne peut pas ignorer que le seul fait tangible repérable, permettant de déterminer le commencement de la vie humaine correspond à sa conception. Notre législation ne reconnaît pas l'avortement comme un droit des femmes." (Philippe de Villiers)

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