Quelques extraits des débats contre l'avortement, le 26 Novembre 1974
Simone Veil (elle avait comme conseiller ministériel le Docteur Pierre Simon, Grand Maître de la secte maçonnique de la Grande Loge de France et président du Planning Familial. Simone Veil faisait parti du gouvernement de Valéry Giscard d'Estaing qui avait comme conseiller Jean-Pierre Prouteau, Grand Maître de la secte maçonnique du Grand Orient de France (GODF) ) a donnée son nom à la loi génocidaire abortive.
L'avortement est le plus grand génocide (~ 220000 avortements / ans en France soit + de 8 MILLIONS d'avortements en France depuis 1975. ~ 45 MILLIONS d'avortements dans le monde / ans soit ~ 2 MILLIARD d'avortements dans le monde depuis les années 70.).
Les enfants avortés sont jetés à la poubelle ou dans des fours crématoires, la peau (qui contient du collagène) des enfants est utilisées dans la conception de produits cosmétiques, leurs cellules sont utilisées dans l'agroalimentaire par Pepsi notamment comme "rehausseur de goût"" et ils sont utilisés par des laboratoires comme cobayes afin de faire des expériences et de leurs faire subir des abominations.
« Le temps n’est pas loin en France où nous connaîtrons ces ‘avortoirs’ – ces abattoirs – où s’entassent des cadavres de petits d’hommes. » (Jean Foyer, 26 nov.)
« Il nous est demandé de participer à une sorte de Saint-Barthélemy où des enfants en puissance de naître seraient quotidiennement sacrifiés. » (Hector Rolland, 26 nov.)
« Vous instaurez un nouveau droit, un droit à l’euthanasie légale. » (Alexandre Bolo, 26 nov.)
« Allons-nous admettre le permis légal de tuer ? […] C’est reconnaître progressivement l’eugénisme, puis l’euthanasie. » (René Feït, 26 nov.)
« Quand on oublie que le droit à la vie est inviolable on peut, après l’introduction de l’avortement, préconiser des mesures contre les handicapés physiques ou mentaux, contre les ‘bouches inutiles’, contre les incurables, contre les poids morts de la société, et en arriver, chers collègues, au pire racisme nazi. » (René Feït, 26 nov.)
« Cela ne s’appelle plus du désordre, madame la ministre. Cela ne s’appelle même plus de l’injustice. C’est de la barbarie, organisée et couverte par la loi, comme elle le fut, hélas ! il y a trente ans, par le nazisme en Allemagne. » (Jacques Médecin, 26 nov.)
« En vérité, personne au monde ne peut s’arroger le droit de supprimer la vie d’un innocent. Ce ne peut être l’Etat, à moins qu’il ne soit totalitaire comme l’était le III e Reich. […] Qui, désormais, aura le droit de donner les critères fixant l’étendue de ce droit ? L’Etat ? Alors qu’avons-nous à reprocher aux hommes de l’Etat national-socialiste sinon d’avoir été, dans ce domaine bien précis, des précurseurs ? » (Remy Montagne, 27 nov.)
« On est allé – quelle audace incroyable ! – jusqu’à déclarer tout bonnement qu’un embryon humain était un agresseur. Eh bien ! ces agresseurs, vous accepterez, madame, de les voir, comme cela se passe ailleurs, jetés au four crématoire ou remplir des poubelles. » (Jean-Marie Daillet, 27 nov.)
Albert Liogier : « On connaît, mes chers collègues, des manifestations publiques au cours desquelles des femmes ou plutôt des viragos, car elles ne méritent pas le nom de femmes étaient prêtes à donner le triste spectacle de leur propre avortement, pour mieux narguer la loi et démontrer l’impuissance de l’Etat. […] ces hommes et […] ces femmes pour qui sous le prétexte de la liberté, la pornographie tient lieu de devoir et d’honneur. A la pratique du vice doit répondre la pratique de la vertu. Et pour Satan, contraception et avortement ne sont que deux chapitres du grand et même livre de la sexualité. »
source : Journal Officiel