la sorcière Inna Shevchenko (leader des Femen) : « j’accepterai des dons du diable pour développer le féminisme » (source : I-télé)
Pour rappel les Femens sont financé par le milliardaire juif George Soros et sont défendu par l'avocat Patrick Klugman, adjoint à la Mairie de Paris et ancien président de l'Union des Etudiants Juifs de France (UEJF). Le commando féministe des Femen attaquent impunément les églises catholiques sans jamais être condamné par la Justice (noyauté par la judéo-maçonnerie et les juges rouge du Syndicat de la Magistrature) et avec le soutien affiché de la clique politique, médiatique et judéo-maçonnique.
Anna Shevchenko, figure majeure du groupe Femen, a obtenu le «Grand Prix International de la Laïcité» de la secte maçonnique Comité Laïcité République (CLR), présidé par l’ancien Grand Maître de la secte maçonnique du Grand Orient de France (GODF) le juif Patrick Kessel. Le Grand Prix National du CLR a été attribué à Gilles Clavreul, 44, ancien Délégué Interministériel à la lutte contre le racisme et l’antisémitisme (DILCRA) de 2015 à 1017. Ces prix ont été remis le 14 novembre 2017 dans le Grand Salon de l’Hôtel de Ville de Paris en présence de la maire PS juive franc-maçonne Anne Hidalgo (membre de la secte judéo-maçonnique du B'nai B'rith). De nombreux franc-maçon et personnalités politiques étaient présentes comme l'ancien ministre de l’Intérieur socialiste juif franc-maçon Manuel Valls (initié à la loge "Ni Dieu, Ni Maitre" de la secte maçonnique du GODF), Jean-Pierre Chevènement, l'ancien ministre socialiste André Henry ( Membre de la secte maçonnique du Grand Orient de France (GODF), initié à la loge "Fraternité vosgienne" en 1963. Il fut membre de la loge "Europe maçonnique" à Paris, puis de la loge "Condorcet 89" à Créteil, dont il fut pendant quatre ans le Vénérable) , l'ancien député-maire Guy Lengagne (ancien président de la secte maçonnique de la Fraternelle Parlementaire), l'ancienne ministre Yvette Roudy (membre de la secte maçonnique de la Grande Loge Féminine de France (GLFF)), de nombreux députés et sénateurs. De même que le Grand Maître actuel de la secte maçonnique du GODF Philippe Foussier, et les anciens Grands Maîtres Jacques Lafouge, Gilbert Abergel, José Gulino et Daniel Keller. Etaient aussi représentées par un ou plusieurs dignitaires les secte maçonniques de la GLFF, de DH, de la GLMF et de la GLMU.
La juive franc-maçonne Anne Hidalgo, dans son discours d’accueil, n’a pu s’empêcher de saluer en Shevchenko «une belle personnalité laïque qui défend les droits et l’émancipation des femmes». Et, dans son allocution, la militante féministe de s’élever «contre les extrémismes religieux, la domination patriarcale et cléricale, l’autorité masculine liberticide… qui veulent les femmes discrètes». Le juif et président de la secte maçonnique du CLR Patrick Kessel a conclu la soirée avec cette précision tout à propos: «Nous somme anticlérical, mais pas antireligieux».
Précision bien utile, car la militante qui a trouvé asile en France depuis 2012 a poussé bien loin la provocation. En 2013, elle investit la Cathédrale de Paris, seins nus et couverte de slogans hostiles au Vatican.
L’autre récompense, le Grand Prix National de la Laïcité du CLR revient à Gilles Clavreul, préfet chargé d’une mission relative à la laïcité et au respect des règles de vie en société. Cet énarque de gauche a été chargé de mission au ministère de l’Intérieur pendant la présidence Sarkozy, puis nommé conseiller de François Hollande à l’Elysée, avant d’être désigné Délégué interministériel à la lutte contre le racisme et l’antisémitisme (DILCRA). Ce proche du judéo-maçon Manuel Valls et de la lesbienne, féministe et anticléricale Caroline Fourest assume pleinement son militantisme laïc en raillant la pseudo obligation de neutralité de l’État.
Clavreul est aussi cofondateur du mouvement politique Printemps Républicain … qui organise une manifestation commune avec la secte maçonnique du CLR et le lobby juif de LICRA, le 6 janvier 2018, en soutien au torchon judéo-maçonnique, anticlérical et pédophile Charlie Hebdo.
Le Jury 2017 du CLR, présidé par Alexis Lacroix, directeur de la rédaction délégué du magazine L’Express, a aussi rendu hommage :
- à Smaïn Laacher, professeur de sociologie à l’Université de Strasbourg et membre du Conseil scientifique de la DILCRAH (Délégation Interministérielle à la Lutte Contre le Racisme, l’Antisémitisme et la Haine anti-LGBT) (lire son intervention)
- au Service De La Protection (de la Police nationale), qui assure la protection du chef de l’Etat et des ministres, ainsi que des personnes menacées (comme les journalistes, ,judéo-maçons et pédophiles de Charlie Hebdo). (lire l'intervention de Frédéric Auréal (SDLP))
- Jorgé Clavéro, ancien Grand Maître de la secte maçonnique de la Grande Loge d’Argentine.
Plus encore que d’habitude, la proximité entre la secte maçonnique du CLR et l’obédience de son président le juif Patrick Kessel était palpable, ce 14 novembre 2017. Sans doute car le Grand Maître actuel de la secte maçonnique du Grand Orient de France (GODF), Philippe Foussier, est président délégué de la secte maçonnique du CLR. Comme Foussier, l’ancien Grand Maître du Grand Orient de France (GODF) et juif Daniel Keller était également présent lors de la remise des prix.
Discours de Anne Hidalgo, maire de ville de Paris et judéo-maçonne (membre de la secte judéo-maçonnique du B'nai B'rith) :
"Je suis très honorée de recevoir ce prix.
Honorée parce qu’il célèbre les libertés de conscience et d’expression, aujourd’hui gravement menacées par des extrémistes religieux, pour qui il est plus facile de tuer que d’accepter une opinion différente.
Honorée d’être ici entourée de ceux qui résistent aux communautaristes qui ont lâchement abandonné l’universalisme, et qui au lieu de se faire porte-voix de l’humanisme sont devenu des relais de l’islamisme. Nos valeurs sont plus fortes que celles de l’extrême droite xénophobe qui combat la diversité et rejette les minorités. Ils tentent tous de faire taire nos voix progressistes et notre combat devient encore plus difficile aujourd’hui. Ils essaient de nous enterrer, mais ils ne savent pas que nous sommes des graines. Nous sommes des millions et devrions être plus nombreuses encore.
Mais recevoir ce prix me met également un peu mal à l’aise. En tant que militante féministe, je suis plus habituée à être arrêtée, attaquée et accusée, car parler avec une voix de femme est toujours considéré comme un acte radical. Je connais la torture, j’ai survécu à un attentat terroriste, je suis plus familière aux peines d’une vie en exil qu’à de tels honneurs. Le combat que je mène est difficile mais je n’ai jamais été seule. Ce prix je veux le dédier et le partager avec l’ensemble du mouvement FEMEN, ce groupe que je définis comme un groupe de femmes qui tentent de changer le monde sans demander la permission. Je transmets ce prix à chaque activiste, chaque femen d’hier, d’aujourd’hui ou de demain. Il n’y a rien dont je sois plus fière que d’assister à la transformation d’une femme en amazone moderne, ce que vous êtes. Je suis fière de notre contribution commune à la plus longue de toutes les révolutions : la révolution des femmes.
Je veux partager ce prix notamment avec l’une de ces amazones, Pauline Hillier, avec qui j’ai écrit un livre intitulé "Anatomie de l’oppression" pour dénoncer et s’opposer à l’oppression religieuse et célébrer toutes les femmes. Je salue également tous ceux qui soutiennent et aident le mouvement ici en France. Vous êtes si précieux.
Ce prix va bien au-delà de moi, et du mouvement FEMEN, il va à toutes les femmes, aux héroïnes célèbres ou anonymes, qui s’opposent aux institutions patriarcales, y compris religieuses.
Parce que la laïcité est aussi un combat de femmes. Les droits des femmes peuvent progresser là où les libertés de conscience et de choix sont garanties. La laïcité et le féminisme visent à libérer les femmes et les hommes du dictat d’une autorité supérieure, les deux rejettent les règles imposées par la force sur la vie des individus. Les deux propagent la solidarité et l’égalité dans la société.
Un des principaux ennemis de la liberté des femmes est l’extrémisme religieux fondé sur des dogmes patriarcaux. Aux quatre coins du monde, ils tentent de pénétrer nos corps avec leurs normes patriarcales. Tous les jours, des paroles prononcées au Vatican, à La Mecque, à Jérusalem soulignent l’infériorité des femmes. Tous les jours, des femmes sont menacées parce qu’elles conduisent une voiture en Arabie Saoudite, enlèvent leur hijab en Iran, vont à l’école au Pakistan, avortent en Pologne, demandent le divorce en Israël, parce qu’elles changent leurs croyances ou tombent simplement amoureuses de quelqu’un ... Et parce que cette guerre menée contre les droits des femmes est universelle, la lutte féministe doit elle aussi être universelle. La laïcité et la liberté d’expression sont des prérequis à l’autonomisation des femmes et leur libération.
La libération de la parole des femmes que nous observons avec fascination ces dernières semaines n’est possible que dans une société laïque où les institutions religieuses n’ont pas de pouvoir politique et où les responsables religieux n’ont pas d’immunité. La laïcité permet une parole libérée, qui est l’élément définissant notre nature humaine, le noyau des droits de l’homme, la base de la liberté. Et je parle bien ici d’une liberté de parole inconditionnelle, qui rejette la "liberté de ne pas être offensé ou moqué". Les religions veulent les femmes silencieuses et discrètes, la laïcité et le féminisme oeuvrent pour que leurs voix soient au contraire entendues.
Mesdames, mes sœurs, mes camarades ne restez jamais silencieuses ! Le silence est une peine de mort pour nos personnalités et nos rêves. En exerçant notre liberté de parole, nous prenons le pouvoir de rejeter l’injustice du passé, de changer le statu quo, de créer une société juste pour toutes et tous. J’appelle à se rassembler et à défier les idées religieuses patriarcales, pas la foi ni la spiritualité mais bien les dogmes, les règles et les traditions créées pour imposer et maintenir une autorité masculine liberticide.
Ne tombons pas dans le piège créé par les populistes ou les xénophobes, rejetons leur tentative de diviser la société. Nos alliés sont aussi parmi les croyants laïques, qui proposent de réinterpréter les dogmes, parce que la « révision » peut aussi conduire à la « révolution ». Le désordre actuel créée par les populistes est l’occasion de se réunir. La peur généralisée des uns et des autres est l’occasion de développer une confiance mutuelle. Les murs nouvellement construits sont l’occasion d’ouvrir plus de portes. Les voix populistes qui s’expriment en notre nom sont l’occasion de reprendre nos propres voix et de défendre l’universalisme et l’égalité pour tous.
Pour nos voix humanistes soient plus fortes que leurs voix populistes, plus fortes que leurs discours communautaristes lâches, plus fortes que leurs menaces, plus fortes que leurs kalachnikovs !
Je continuerai le combat jusqu’à ce que les fanatiques religieux, les sexistes et les mysogines nourris par les dogmes monothéistes ne se mettent plus à genoux pour prier, mais pour demander pardon aux femmes qu’ils ont un jour fait souffrir.
Féministes, laïques, humanistes, le moment est venu, soyons des rebelles et plus des esclaves."
"Madame la Maire de Paris, chère Anne Hidalgo, Mme et MM. les Maires adjoints, Monsieur l’ancien Premier Ministre, cher Manuel Valls, Monsieur l’ancien ministre d’État, cher Jean-Pierre Chevènement,
Mmes et MM. les anciens ministres, députés, sénateurs, anciens parlementaires, ambassadeurs, Présidents et représentants d’associations laïques, militants, citoyennes et citoyens, chers amis, BIENVENUE à cette 12ème édition de la remise des prix de la Laïcité.
Vous êtes exactement 1 265 à vous êtes inscrits. C’est bien plus que cette superbe salle des Fêtes ne peut contenir. Il n’a donc pas été possible de satisfaire toutes les demandes. Par votre présence aussi massive, vous témoignez mieux que de longs discours de la vitalité et des attentes de la famille laïque.
Vous êtes si nombreux qu’il n’est pas possible de citer toutes les personnalités et associations ici représentées. Leurs noms défileront sur l’écran. Que nous pardonnent, par avance, ceux qui auront échappé à notre vigilance.
Mes premiers mots s’adressent à vous chère Anne Hidalgo pour vous remercier de présider l’ouverture de cette cérémonie organisée par le Comité Laïcité République.
Une importante réunion internationale devait vous retenir en Allemagne. Mais vous avez fait en sorte d’être aujourd’hui avec nous et de présider l’ouverture de cette cérémonie des prix de la Laïcité. Une fois encore, vous accueillez le Comité Laïcité République. J’y suis très sensible car c’est un nouveau témoignage de votre amitié et de votre soutien à la Laïcité. En nous recevant dans ce haut lieu chargé d’histoire, vous conférez à cette manifestation une dimension toute particulière, soulignant que Paris, capitale d’une République laïque, se doit d’être le phare international de la liberté de conscience.
Monsieur le Premier Ministre, cher Manuel Valls, votre présence à cette cérémonie participe d’un rituel républicain puisque vous êtes fidèlement des nôtres depuis des années. Tous nos amis ici présents, quels que soient leurs engagements, savent que vous avez été et que vous demeurez une des rares voix politiques à oser défendre la laïcité à voix haute et claire. Vous avez témoigné votre solidarité lorsqu’il s’est agi de défendre Natalia Baléato, la directrice de la crèche Baby Loup, de soutenir Samuel Mayol, le directeur de l’IUT de Saint-Denis, de dénoncer la montée et la banalisation d’un nouvel et intolérable antisémitisme.
Nous avons en mémoire le vibrant et émouvant discours que vous avez prononcé devant les députés, un instant unanimes, le 13 janvier 2015 au lendemain des attentats barbares, propos qui résonnent encore puissamment alors que nos amis de Charlie sont à nouveau victimes d’une salve de haine et de menaces.
Jean-Pierre Chevènement, grand serviteur de l’État, de nombreuses fois ministre, à l’Intérieur, à la Défense, à l’Éducation Nationale, ministre d’État à la Recherche et à l’industrie, vous êtes un inlassable combattant de la République laïque et sociale, de la citoyenneté que je veux saluer avec amitié. Merci de votre présence parmi nous à laquelle je suis particulièrement sensible.
En votre nom à tous, je souhaite saluer tout particulièrement les parents de Charb, le directeur de Charlie hebdo, notre ami, qui présida le jury du prix de la laïcité en 2012. Charb qui nous avait mis en garde, déclarant à cette tribune : “J’ai moins peur des extrémistes religieux que des laïques qui se taisent” [1].
Gérard Biard et Marika Bret qui représentent Charlie s’exprimeront dans un instant. Mais, au moment où Charlie est à nouveau l’objet d’une tempête d’insultes et de menaces, il est essentiel d’affirmer haut et fort "Nous sommes toujours Charlie".
C’est pourquoi, le 6 janvier prochain, le Comité Laïcité République, le Printemps républicain et la Licra, avec le soutien de Charlie, vous invitent à une journée de mobilisation intitulée : « Nous sommes toujours Charlie : de la mémoire au combat ». Cette journée se tiendra aux Folies Bergère. Nous vous dirons en fin de réunion comment vous y associer si vous le souhaitez [2].
Je souhaite saluer également les parents et collègues de Franck Brinsolaro qui protégeait Charb, décédé dans les locaux de Charlie, Philippe son frère jumeau, commandant de police à Marseille, son fils Kevin, élève gardien de la paix à l’école de police de Saint-Malo, ainsi que les proches et collègues de Ahmed Merabet qui fut assassiné alors qu’il était au sol. Et saluer la maman de Clarissa Jean-Philippe, abattue de deux balles dans le dos le 8 janvier 2015.
Nous dédions cette cérémonie à leur mémoire ainsi qu’à toutes les victimes des attentats barbares de Saint-Denis et du Bataclan voilà deux ans et un jour.
Je salue également les 70 officiers de sécurité qui ont souhaité se joindre à nous et qui, au péril de leur vie, assurent la sécurité des journalistes, dessinateurs, philosophes, militants laïques, citoyens, menacés de mort pour leurs paroles, leurs écrits ou leurs dessins.
Dans un petit moment, ces femmes et ces hommes seront honorés par le jury. C’est une décision exceptionnelle qui permet d’associer des femmes et des hommes aussi différents que des policiers et des collaborateurs de Charlie, unis par le même dévouement aux valeurs de la République. D’ores et déjà, je souhaite vous rendre l’hommage qui vous est dû par la République car sans vous, la démocratie cèderait sous les menaces et le crime barbares.
(Je vous demande de les applaudir avec chaleur et fraternité)
Je souhaite enfin évoquer la mémoire de deux grands amis de la laïcité qui nous ont quittés cette année : Antoine Blanca, ancien ambassadeur de France en Amérique latine, conseiller de François Mitterrand, ami de Salvador Allende, et Pierre Bergé fondateur du Comité Laïcité République que vous avez souvent entendu défendre brillamment la laïcité à cette tribune.
Il y a un an, ici-même [3], nous évoquions la déchirure sociale mais aussi culturelle du pays. Nous disions notre inquiétude face à la montée des revendications communautaristes qui menacent la paix civile. Nous appelions les forces républicaines des deux rives à retrouver le discours de la citoyenneté et de la laïcité, à lever la confusion qui s’est imposée dans les têtes et à rappeler les principes fondateurs de la République : la liberté de conscience et l’égalité des droits et des devoirs entre tous, quels que soient l’origine, la couleur de la peau, le sexe, les appartenances religieuses et philosophiques. Ces principes ne se négocient pas.
Nous avions souhaité que les élections de 2017 soient l’occasion d’un ressourcement à ces principes. Le Comité Laïcité République, comme la plupart des associations laïques, a appelé à faire barrage à la candidate d’une extrême-droite qui, tout au long de son histoire, a défendu une identité française blanche, catholique, apostolique et romaine, bien peu laïque !
De cela, nous pouvons nous féliciter même s’il convient de demeurer vigilant pour l’avenir.
Mais la laïcité a été peu évoquée, souvent instrumentalisée.
Sur la rive droite, certaines voix se sont élevées pour stigmatiser l’ensemble des musulmans et capitaliser les voix de la peur. Les mêmes qui se posent en laïques, avaient manifesté contre le mariage pour tous et plaident aujourd’hui en faveur des crèches dans les Mairies. Comme si la laïcité devait s’appliquer exclusivement à nos concitoyens musulmans.
Ceux-là n’ont pas abandonné l’idée d’une France fille aînée de l’Église [4].
De la rive gauche, on espérait un sursaut républicain et laïque dans la filiation de Jaurès et de Clemenceau. Pour beaucoup, on eut la course au vote communautaire, les accommodements dits “raisonnables” et les renoncements coupables.
On aurait aimé entendre dans la bouche des candidats que la laïcité, la liberté de conscience et l’égalité entre tous les citoyens et d’abord entre hommes et femmes, ne sauraient être relativisées, contournées, contestées.
On aurait aimé qu’un véritable débat mette en lumière le fait que le multiculturalisme ne conduit pas au métissage, ni même à la rencontre des cultures mais à l’ethnicisation et à l’enfermement dans des ghettos. Que seul l’universalisme porté par la laïcité ouvre la voie à la fraternisation au-delà des origines et appartenances diverses.
Au lieu de cela, des voix d’intellectuels, de sociologues, de journalistes et même plus récemment de quelques élus aux origines pourtant progressistes, ont cultivé le déni des réalités, ont nié les problèmes posés par les revendications communautaristes dans des crèches, des IUT, des écoles, des hôpitaux, des prisons, dans des entreprises, des quartiers, ont détourné le combat antiraciste, ont falsifié le combat féministe, ont masqué la montée d’un intolérable nouvel antisémitisme porté par l’islamisme politique.
Ces voix ne nous feront pas croire que ces obscurantistes seraient les nouveaux damnés de la Terre, les héritiers d’un prolétariat perdu ! La question sociale ainsi caricaturée ne sert qu’à affaiblir la laïcité, à justifier des régressions de mœurs dont les femmes sont les premières victimes, à légitimer des alliances politiques contre-nature avec des forces obscurantistes.
La République est laïque et sociale. Pas l’un sans l’autre !
Résultat, c’est la laïcité qui s’est trouvée accusée d’être « colonialiste », « raciste », « islamophobe » ! On a même pu lire que c’est « le fondamentalisme laïque qui menacerait la France » !
Cet aveuglement évoque celui de ces intellectuels qui, dans les années 30, de retour de Moscou, n’avaient rien vu de l’enfer stalinien ou, un peu plus tard, de retour de Berlin, n’avaient pas perçu la réalité du nazisme.
Régis Debray avait raison voilà trente ans de nous mettre en garde : le droit à la différence débouchera sur la différence des droits, disait-il. Nous y sommes. Et c’est pourquoi nous avons plus que jamais besoin de laïcité.
Les élections de 2017 n’ont pas permis de lever la confusion qui s’est installée dans les têtes. Le débat n’a pas eu lieu mais il divise désormais profondément et la droite et la gauche et même les associations laïques.
Les questions demeurent et il est toujours aussi faux de prétendre qu’il n’y a pas de problèmes de laïcité en France.
Le Collectif national laïque qui regroupe plus de trente associations laïques publiera dans les prochains jours son rapport annuel qui en fait objectivement la démonstration.
Six mois après les élections, les perspectives se révèlent indécises et les déclarations soufflent alternativement le chaud et le froid.
Le chaud lorsque le ministre de l’Éducation Nationale adresse des signaux qui semblent aller dans le bon sens concernant l’école. Car la priorité des priorités, c’est de réinstituer l’école de la République.
Le froid lorsque d’autres voix autorisées paraissent vouloir transformer la laïcité en un dialogue interreligieux. Tant mieux s’il permet de rapprocher des communautés de croyants plutôt que de nourrir de nouvelles guerres de religions.
Mais cette démarche n’a rien à voir avec la laïcité ! En revanche elle serait inquiétante si l’engagement de l’État devait servir de cheval de Troie à une sorte de concordat qui ne dirait pas son nom. Qui aboutirait à contourner la loi de séparation de 1905 et à replacer les religions dans le débat politique !
Car s’il est légitime que les religions, comme les familles philosophiques, s’expriment dans les grands débats de société, c’est aux élus du peuple à faire la loi.
Aussi, la mise en place d’une instance interconfessionnelle, même “informelle”, auprès du ministre de l’Intérieur, ne peut manquer de nous préoccuper. L’État doit demeurer extérieur aux considérations théologiques et les clergés extérieurs aux institutions de la République. Selon la formule de Victor Hugo, tout va mieux quand l’État est maître chez lui et l’Église chez elle.
La laïcité sans qualificatif que nous défendons n’est pas qu’une loi. Elle est aussi une philosophie de l’émancipation, de la liberté de conscience et de l’égalité des droits.
Aussi pensons-nous que le Président Macron pourrait rassembler une majorité de républicains des deux rives afin de d’élargir la liberté de conscience à la fin de vie. C’est avec cette volonté de rassemblement que nous soutenons la proposition de loi du député Jean-Louis Touraine que je salue. C’est ce qu’attendent plus de 80% de nos concitoyens.
C’est ce que le Président Mitterrand avait fait pour l’abolition de la peine de mort et le Président Giscard d’Estaing pour l’interruption volontaire de grossesse. Le dépassement des clivages traditionnels trouverait là une concrétisation heureuse.
La laïcité est le moyen de la paix sociale, du rassemblement de toutes les citoyennes, de tous les citoyens, quelles que soient leurs singularités. Elle est la voie de la fraternité citoyenne qui donne tout son sens à la République. Il faut la protéger, la promouvoir et nous sommes disposés à travailler avec tous ceux qui partagent cette volonté.
C’est pourquoi nous travaillons à ce qu’elle soit au centre de la recomposition politique et d’un rassemblement autour d’un projet de République moderne, laïque et sociale.
C’est aussi pourquoi nous avons créé ce prix de la laïcité afin d’honorer celles et ceux qui, parfois au péril de leur vie, se battent pour la liberté, l’Égalité et la Fraternité que porte la Laïcité.
Le jury, indépendant dans ses choix, a beaucoup débattu. Je remercie tous ses membres. Cette année, il est présidé par Alexis Lacroix, journaliste, directeur de la rédaction de l’Express.
C’est un journaliste reconnu doté d’une belle plume, un homme d’éthique et de grande culture. Je souhaite le remercier pour le temps, l’énergie, la simplicité et la gentillesse dont il a fait preuve."
[1] Voir Charb (1967 - 2015).
"Je ressens beaucoup de fierté et de gratitude en me retrouvant devant vous. Fierté parce que le jury me place dans une lignée de femmes et d’hommes que j’admire, certains sont devenus des amis. Gratitude aussi, parce que ce que vous avez bien voulu distinguer à travers moi c’est une action, celle que j’ai conduite à la tête de la DILCRAH, et cela a été possible parce que trois personnes, trois hommes d’Etat, qui ont été successivement mes patrons, m’ont fait confiance et m’ont confié cette responsabilité : François Hollande, Manuel Valls qui a voulu faire de la DILCRAH ce qu’elle est, et Bernard Cazeneuve. C’est une grande chance qui m’a été donnée que de travailler avec ces trois hommes d’Etat ; ils savent ma reconnaissance et ma fidélité.
Je salue l’engagement et la fermeté des convictions de toujours du CLR et de son président, cher Patrick Kessel, cher ami. Je salue et remercie de son accueil la maire de Paris, chère Anne qui ne manquez jamais au combat antiraciste, à la lutte contre l’antisémitisme, à la lutte contre l’homophobie et à la défense de la laïcité, et en qui les associations trouvent une partenaire fidèle.
Dans mes fonctions, j’en ai tôt fait l’expérience : on ne combat pas le racisme, ni l’antisémitisme, ni le sexisme, ni l’homophobie, si on ne comprend pas ce qui se joue, en France aujourd’hui, autour de la laïcité, mais qui se joue aussi, dans des termes et une histoire différentes, dans toutes les démocraties occidentales, à savoir la montée en puissance des passions identitaires - non seulement dans l’espace publique, mais dans pratiquement toutes les dimensions de la vie collective.
J’ai parlé de "tenaille identitaire", qu’est-ce que cela veut dire ? Cela veut dire que pour certains l’aune de la politique, ce n’est plus ce que l’on dit ni ce que l’on pense, mais ce que l’on est, et que les convictions se confondent tout entières avec les origines.
Or les entrepreneurs identitaires ne sont plus seulement là où on a l’habitude de les trouver, c’est-à-dire à l’extrême-droite ou à la droite extrême. Ils sont aussi désormais solidement établis dans une partie de la gauche et de l’extrême-gauche. Et des deux côtés, par des efforts certes opposés mais conjoints, ainsi qu’une tenaille, ils réduisent petit à petit l’espace démocratique et républicain, et y remplacent la délibération par la revendication.
Nul besoin d’expliquer longuement ici en quoi non le fait religieux en lui-même, mais son utilisation politique, joue un rôle déterminant dans ce processus d’étouffement. Car ce sont avec les mots mêmes de la démocratie libérale – la liberté de conscience, la lutte contre les discriminations, le respect des cultures, l’aspiration à l’égalité – que la revendication identitaire s’exprime.
Et donc nul besoin non plus de rappeler pourquoi la laïcité est si importante pour objecter, répondre et faire pièce à cette double offensive. Elle est en vérité à la croisée de tous les combats républicains : la lutte contre le racisme et l’antisémitisme, la liberté des femmes, l’émancipation des plus défavorisés, la défense du primat de la raison sur la croyance, la liberté sexuelle. La laïcité, c’est aussi le droit au blasphème et à la caricature, sans laquelle aucune imposture ne serait jamais dénoncée, celle des Tartuffe ou de leurs ombrageux attachés de presse.
La laïcité est aussi devenue un sport de combat. J’y ai pris ma part, comme nombre d’entre vous ici, comme nombre de militants politiques, associatifs, syndicaux, de fonctionnaires de terrain, ces premières lignes de la République auxquelles je veux rendre ici un hommage qu’à mon avis on ne leur rend pas assez, eux que j’ai rencontrés durant mes journées dans des collèges, des centres sociaux et des mairies annexes un peu partout en France. C’est en grande partie grâce à eux que la société ne s’est pas déchirée après les attentats, grâce à eux que, malgré la progression de l’islam radical, malgré le niveau toujours très élevé du Front National (et je vois que déjà on l’a presque oublié, quelle erreur !), malgré le dégagisme ambiant, la France a tenu bon et ne s’est pas égarée dans des populismes qui, ailleurs, ont considérablement progressé.
Le combat est rude, il est parfois violent mais il faut s’y faire : nous n’en sommes qu’au début. Et puisqu’il faut le livrer, ce combat, n’ayons pas peur de dire qu’un immense travail nous attend si nous voulons desserrer l’étau.
Les identitaires ont ciblé la jeunesse et y ont conquis des parts d’audience. Or nous avons des choses à dire à la jeunesse. Nous avons aussi à nous adresser aux classes populaires, à ces territoires qui décrochent, à leurs habitants qui font l’expérience du déclassement et qui se sentent ignorés, méprisés.
Nous sommes à un moment décisif, celui où les classes moyennes intégrées sont à leur tour gagnées par le ressentiment contre les élites et donc tentées par des solutions radicales. La gestuelle, la symbolique sont nécessaires à la République ; mais elles ne sont pas suffisantes. Il faudra des actes concrets, c’est-à-dire des politiques publiques appuyées par de la présence humaine. Car à force de rationalisation des cartes et d’optimisation des services, la modernité managériale finira par nous coûter beaucoup plus cher qu’elle ne prétend nous rapporter. Cela aussi, les identitaires l’ont bien compris, de l’aide aux devoirs à l’aide sociale de proximité, ils savent se rendre maîtres des fins d’après-midi et des dimanches desoeuvrés.
Il faut enfin que l’Etat s’engage – l’Etat, et plus largement tous ceux qui concourent à l’exercice de la puissance publique, car eux seuls possèdent l’effet d’entraînement et de mobilisation propre à mettre toute la société en mouvement. Certains s’en offusquent et j’ai moi-même subi ce reproche, qui réclament à l’Etat d’être neutre. Clemenceau, comme souvent, avait flairé le piège tendu par ceux qui veulent interdire à l’Etat de s’aventurer sur le terrain des valeurs – et nous retrouvons la laïcité au cœur du sujet : « Aux grandes questions que tôt ou tard l’homme se pose, écrit Clemenceau, c’est le catéchisme seul qui répond, et pendant ce temps l’instituteur, humilié, confiné dans sa fonction de machine, enseigne l’orthographe et la règle du participe passé. »
Ainsi serait l’Etat neutre, dans le désir de certains : un Etat interdit de parole, de pensée et de convictions, réduit à l’application mécaniste de normes impersonnelles et comme incréées, puisqu’elles sont supposées ne jamais avoir été le fruit d’une prise de position, d’un point de vue sur les choses. Mais ça, ce n’est pas l’Etat neutre : c’est l’Etat neutralisé. Un tel Etat conviendrait bien à ceux qui ont renoncé à la vie en commun. Il serait en revanche le notaire parfait de la coexistence des communautés réduites aux acquets. Il aurait même soin de promouvoir la laïcité, cette conviction parmi les autres, voire de rendre de temps en temps un hommage hypocrite à cette culture particulière qu’on appelle l’universalisme. C’est L’Etat soliveau, celui de la fable [1]. Mais les grenouilles, dans la fable, se lassent du soliveau, et le chassent. Leur vient une grue, qui les dévore. C’est une analyse politique que je fais mienne.
Au contraire, n’ayons pas peur d’assumer nos convictions. L’engagement ce n’est pas l’esprit de parti ; au demeurant celui dont je parle est largement transpartisan. Nous serons toujours critiqués pour cela par nos adversaires, mais c’est plutôt bon signe. Car dans le même temps, j’en suis convaincu, il existe une attente de République. La République, les Français y sont très majoritairement et très profondément attachés. Il la gratifient d’un amour exigeant, ils le font sèchement savoir quand elle les oublie – ont-ils tort ? Travaillons plutôt à la leur rendre.
Je vous laisse sur une phrase pleine d’espoir de Bernanos, ce monarchiste anti-dreyfusard qui a évolué vers la résistance et renié l’antisémitisme, c’est-à-dire qu’il avait écouté Gide qui disait qu’il faut toujours suivre sa pente mais en la remontant. Voilà ce que Bernanos écrivait en 43 depuis son exil brésilien : « Je suis entré dans la nuit française, mais je sais bien qu’en allant courageusement jusqu’au bout de la nuit, on rencontre une autre aurore »."
[1] "Les Grenouilles qui demandent un Roi", de Jean de La Fontaine
"Je ne dirai que peu de mots pour exprimer ma très grande émotion. D’abord pour remercier le Comité Laïcité République de France pour m’avoir décerné cette distinction qui honore tous les laïques argentins et me comble de bonheur. Quelques uns d’entre eux ont traversé l’océan pour assister à cette cérémonie.
Je remercie également Madame le Maire de Paris pour sa présence et celle des élus qui l’accompagnent ainsi que d’avoir prévu ces salons prestigieux pour cette cérémonie.
La laïcité se construit avec des attitudes et des actions de tous les jours mais également avec des initiatives comme celle de mettre ces lieux si beaux et chargés d’histoire au service de cette cause si intimement liée avec la dignité humaine.
Je dois vous dire qu’aujourd’hui en ma personne on ne récompense pas un éminent intellectuel ou un grand professeur mais seulement un militant de la laïcité, élève et fils de l’école publique. Avant tout un citoyen qui désire que ses pareils soient instruits dans des écoles laïques parce que je suis convaincu que sans laïcité il n’y a pas de démocratie comme conviction dans la vie et par conséquent pas de République comme forme de gouvernement.
En Argentine il n’est pas facile de développer la laïcité, pas plus que dans d’autres pays où l’Eglise et l’Etat ne considèrent pas comme séparées leurs responsabilités respectives. Dans ce cas le cléricalisme exerce un poids considérable sur l’opinion publique et sur les gouvernements. La plupart du temps la laïcité doit surmonter cette difficulté avec plus de travail et de conviction.
C’est ce que nous essayons de mettre en œuvre à travers la franc-maçonnerie qui nous apprend à être libres et par l’Institut Laïque d’Etudes Contemporaines.
Depuis de nombreuses années nous avons participé à sa création et à son développement. Il compte actuellement des établissements dans différentes villes réparties dans l’immense étendue géographique de mon pays.
Malheureusement il nous arrive parfois de sentir que nous sommes seuls à lutter pour la défense de la liberté de conscience, la laïcité et contre tout dogmatisme à caractère politique ou religieux. Nous notons que les partis politiques traditionnels se montrent lâches ou incertains devant les avancées du cléricalisme. Mais nous persévérons.
Le point central de la laïcité en Argentine se trouve être dans son système éducatif. Ces dernières années il a reculé non seulement dans la qualité de l’enseignement mais aussi on a permis que la religion s’introduise dans les écoles publiques de diverses provinces. Nous avons dû avoir recours à la Cour Suprême de Justice à la suite de divers abus. J’espère, et pourvu qu’il en soit ainsi, que le tribunal suprême nous donnera raison et que les choses reviendront à leur place.
Pourquoi cela ne pourrait-il pas être le thème de nos prochaines rencontres ?
Aujourd’hui je peux seulement vous remercier très profondément et renouveler devant vous mon engagement laïque pour une humanité libre dans l’égalité et la fraternité.
Enfin pour terminer je voudrais citer cette phrase inoubliable du père de la modernité :
Citoyens… Sapere Aude [1] !!!"
[1] « Aie le courage de te servir de ton propre entendement ! », selon Emmanuel Kant
source : la Lumière, le blog franc et maçon de l'Express
source : Comité Laïcité République
source : Wikipédia
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